Livres après livres, Byung-Chul Han poursuit sa radioscopie du temps présent. Après avoir ausculté la fatigue, le désir, le numérique, le divertissement ou encore la douleur, le philosophe allemand s’intéresse à la disparition des histoires et à celle des rituels, thèmes qui complètent sa réflexion sur l’érosion de notre communauté humaine sous l’influence du capitalisme numérique néolibéral. Deux points d’attention qui consonent aussi avec son intérêt persistant pour la religion, réalité ô combien confiante dans la puissance du narratif et de la ritualité.
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