Dans les chansons de Jacques Brel, bouleverse souvent – toujours ? – le sentiment de ce qui n’est ou ne sera bientôt plus. L’amour qui meurt, la crainte de l’abandon conjurée à coups de « Ne me quitte pas », la jeunesse abolie des « Vieux » auxquels l’horloge du salon rappelle la fuite du temps, l’époque insouciante et révolue où Bruxelles « bruxellait »…
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