Les photos en noir et blanc s’alignent le long des barrières, collées sur de simples panneaux de bois. De la sortie de la ville de Bratunac jusqu’aux abords de Srebrenica, où a été commis le massacre de plus de 8 000 Bosniaques (musulmans) le 11 juillet 1995, toutes les maisons à droite comme à gauche de la route exposent ces mêmes panneaux plantés dans les jardins, bien visibles. On y voit des visages d’hommes, de femmes, de jeunes, des noms, des dates.
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