C’est un outil de l’État peu connu qui s’est retrouvé cette semaine sur le devant de la scène : un logiciel pour connaître l’opinion des citoyens par recherche de mots-clés, anticiper la réception de projets de loi, connaître l’ampleur des réactions à un scandale ou à un sujet d’actualité sur les réseaux sociaux (X, Meta, LinkedIn, etc.). Ce programme de « social listening » était confié depuis 2012 à une entreprise française, Visibrain. Ce n’est plus le cas depuis le 16 juin.
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