Ce mercredi 9 juillet, le secrétaire d’État américain Marco Rubio a annoncé une série de « sanctions » contre Francesca Albanese. La raison : « La campagne de guerre politique et économique menée par la rapporteuse de l’ONU contre les États-Unis et Israël. » Pourtant, la juriste italienne de 48 ans est chargée de faire état de la situation des droits humains dans les territoires palestiniens occupés par Israël, pas de mener un agenda politique partisan. Mais les accusations de génocide qu’elle formule contre l’Etat hébreu lui valent les foudres de Washington et de Tel-Aviv. Médiatique, très active sur les réseaux sociaux, les combats de Francesca Albanese pour le respect des droits humains l’ont propulsée sur le devant de la scène.
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