C’est sans doute le mot le plus entendu à Rome depuis l’élection de Léon XIV : « Unité. » Le nouveau pape en serait le garant attendu, dans une Église décrite comme « divisée ». Ce n’est pas l’objet de cette chronique que de discuter ce diagnostic – le jésuite Benoît Vermander, professeur de sciences religieuses à l’université Fudan (Shanghaï), s’en est déjà chargé dans une tribune éclairante : « Léon n’a pas été choisi pour rétablir une unité soi-disant brisée par François ».
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