Une promotion ecclésiale qui ne passe pas, pas plus que sa justification. Début juin, l’archevêque de Toulouse, Mgr Guy de Kerimel, a nommé un prêtre condamné pour viol sur mineur en 2006 comme chancelier du diocèse. Face à l’incompréhension, il a justifié cette nomination au nom de « la miséricorde », suscitant de nombreuses réactions indignées parmi les fidèles, mais aussi à l’extérieur de l’Église. De fait, le père Dominique Spina avait été condamné en 2006, alors qu’il était prêtre du diocèse de Bayonne (Pyrénées-Atlantiques), à cinq ans de prison dont un avec sursis pour le viol d’un lycéen de 16 ans en 1993.
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