L’idée est poussée depuis plusieurs semaines par la droite sénatoriale et une partie des macronistes : profiter du budget 2026 pour réaliser une « année blanche », c’est-à-dire geler toutes les dépenses publiques, y compris celles indexées sur l’inflation. Mercredi 2 juillet, sur Sud Radio, la ministre des comptes publics, Amélie de Montchalin, s’est dite favorable à « une pause » sur certaines dépenses publiques dans le cadre du budget 2026. Le même jour, dans Les Échos, la présidente de l’assemblée nationale Yaël Braun-Pivet s’est dit « favorable au principe d’une année blanche », qui pourrait même, « en fonction de l’évolution de l’inflation (…) être envisagée au-delà de 2026 ».
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