Dylan Ayissi le dit lui-même : « Je suis un accidenté du système scolaire », allusion faite à la voie que le jeune homme a empruntée entre 2016 et 2019. Cette filière qu’il appelle la « voie de garage », où atterrissent les lycéens les plus en difficulté, c’est le bac professionnel. Du haut de ses 23 ans, désormais militant associatif, il poursuit une quête : revaloriser la voie professionnelle.
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