Analyse

Guerre Israël-Hamas : la crainte nourrie d’une contagion régionale

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Un soldat libanais surveille la zone frontalière avec la ville de Metula, dans le nord d'Israël, le 8 octobre, après que le Hezbollah libanais et Israël ont déclaré avoir échangé des tirs transfrontaliers. 
Un soldat libanais surveille la zone frontalière avec la ville de Metula, dans le nord d'Israël, le 8 octobre, après que le Hezbollah libanais et Israël ont déclaré avoir échangé des tirs transfrontaliers.  Mahmoud Zayyat / AFP
Depuis l’offensive terroriste du Hamas sur Israël le 7 octobre, le Hezbollah et le Djihad islamique au Liban ont revendiqué plusieurs frappes et incursions sur le sol israélien. À ce risque d’élargissement du conflit au front nord s’ajoute l’ouverture possible de nouveaux fronts en Cisjordanie, à Jérusalem-Est, voire en Israël même.

Faut-il voir, dans les tirs lancés sur Israël depuis le Liban, le début d’une prophétie autoréalisatrice ? Dès dimanche 8 octobre, moins de vingt-quatre heures après l’offensive terroriste du Hamas, le Hezbollah, son allié libanais, revendiquait des frappes d’artillerie sur le sol israélien.

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