Jusqu’au bout, Jean-Jacques Marette aura tenté de trouver un compromis entre les positions a priori inconciliables des syndicats et du patronat sur la réforme des retraites. Mardi soir 17 juin, alors que les débats du conclave s’enlisaient après des heures d’échanges infructueux, il a joué son va-tout, proposant des rencontres bilatérales, aux syndicats d’abord, puis au patronat.
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