Ailton Krenak, figure majeure des luttes autochtones au Brésil, n’ira pas à la COP30, prévue en novembre à Belém, capitale symbolique de l’Amazonie. C’est que le militant ne croit pas beaucoup à ces grands raouts internationaux. « Les deux dernières conférences des Nations Unies pour le climat ont été un désastre. Même si Lula (le président du Brésil, NDLR) était sincère dans sa lutte contre la déforestation, il est beaucoup trop sous la pression des lobbies pour faire avancer les choses », assure-t-il.
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