À quelques jours de la première du Chevalier à la rose, Véronique Gens ne s’en cache pas : « La Maréchale est le rôle qui, jusqu’à aujourd’hui, m’a demandé le plus de travail, tant sur le texte que sur la musique. C’est d’une incroyable difficulté ! » Pourtant, la soprano en rêvait « depuis vingt ans ». Mais le monde lyrique étant ce qu’il est, « on ne pense pas naturellement à une chanteuse française, qui plus est associée au répertoire baroque et à Mozart, pour se glisser dans la prose de Hugo von Hofmannsthal et les mélodies et rythmes de Richard Strauss, même du plus mozartien de ses ouvrages. »
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