Enquêter sur un conclave, c’est s’aventurer dans un monde où le silence est sacré. Les cardinaux électeurs sont tenus par un serment de secret absolu, et toute divulgation des délibérations est passible d’excommunication automatique. Malgré ces restrictions, des informations, plus ou moins vérifiables, émergent depuis le 8 mai. Elles permettent de reconstituer les dynamiques qui ont conduit à l’élection du cardinal Robert Francis Prevost. Et comment le report des voix des cardinaux de tendance conservatrice en sa faveur a joué un grand rôle dans l’élection de celui qui est vite apparu comme dépassant les sensibilités.
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