Décider que le procès des présumés violeurs de Mazan se tiendrait en public et non pas à huis clos a dû être difficile. Le vœu qu’il se tienne en public, exprimé par la principale victime comme par ses trois enfants, parties civiles, l’a emporté. L’accusation et plusieurs avocats de la défense avaient pourtant fait valoir le risque que ce procès, au terme duquel seront jugés plus de 50 individus, ne devait pas devenir un spectacle. Argument fort, à mes yeux !
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