Facebook : dernières actus

Ce mercredi 30 avril, Apple a été rappelée à l’ordre par la justice américaine pour avoir refusé d’ouvrir ses iPhone à des boutiques d’applications concurrentes. Ces dernières semaines, plusieurs procédures judiciaires visant les Gafam ont montré la bascule en matière de régulation de la concurrence.

La Commission européenne a annoncé, mercredi 23 avril 2025, avoir infligé des amendes à Apple et Meta pour des infractions à la concurrence, en pleines tensions commerciales avec les États-Unis. Ce sont les premières sanctions prononcées dans le cadre du nouveau règlement européen sur les marchés numériques (DMA).

Le 6 décembre 2024, l’élection présidentielle roumaine a été annulée à la suite de manipulations sur des réseaux comme TikTok en faveur du candidat d’ultra-droite, Calin Georgescu. À l’approche d’un nouveau scrutin, les 4 et 18 mai, la société civile s’organise pour signaler les faux comptes et déjouer les algorithmes.

La Haute Cour de Nairobi s’est déclarée compétente pour juger la société mère de Facebook. Le géant américain est accusé d’avoir encouragé les violences pendant la guerre du Tigré, en laissant les incitations à la haine proliférer.

Il y a deux mois, Mark Zuckerberg s’est aligné sur l’idéologie libertaire d’Elon Musk en affaiblissant considérablement la modération sur Facebook et Instagram. À l’heure du rapprochement entre les États-Unis de Donald Trump et la Russie de Vladimir Poutine, les spécialistes de la désinformation redoutent le pire.

Le groupe Meta, qui contrôle Facebook et Instagram, va payer 25 millions de dollars de dédommagements à Donald Trump, a annoncé mercredi 29 janvier un porte-parole du groupe. Cette décision est censée mettre fin aux poursuites engagées par le président américain après la suspension de ses comptes en 2021.

La justice européenne a demandé, mercredi 29 janvier 2025, à l’autorité irlandaise de protection des données, en charge de la supervision de Meta, d’être particulièrement vigilante aux collectes de données effectuées par le groupe. Les autorités irlandaises et européennes sont souvent en désaccord sur cette question.

Mark Zuckerberg a annoncé la fin du « fact checking », la vérification des faits, sur les réseaux sociaux de son groupe Meta, donc sur Facebook et Instagram, suivant le chemin indiqué par Elon Musk avec X. En France, les citoyens comptent toujours sur la régulation pour lutter contre la désinformation.

Mark Zuckerberg, le patron du groupe Meta (Facebook, Instagram et WhatsApp), affiche son rapprochement avec Donald Trump. Il sera présent à sa cérémonie d’investiture, a indiqué la chaîne NBC mercredi 15 janvier. Ce tournant conservateur tranche avec la réserve qu’il a longtemps affichée face aux présidents américains.

D’après un mémo interne envoyé à son personnel et rapporté par Bloomberg mardi 14 janvier 2025, Meta, le groupe auquel appartiennent Facebook, Instagram et WhatsApp, prévoit de licencier environ 3 600 employés jugés les moins performants, avant d’embaucher de nouvelles personnes pour remplir leurs fonctions.

Le directeur général de Meta, Marc Zuckerberg, a annoncé qu’il mettait fin aux politiques de diversité dans les recrutements de ses sociétés. Le 7 janvier, il avait mis fin aux activités de fact-checking, destinées à vérifier les informations publiées sur ses réseaux sociaux (Facebook, Instagram et WhatsApp).

En Tunisie, tous les migrants connaissent « Marino Dubois » et sa page Facebook. Derrière ce pseudonyme, une cyberactiviste française qui apporte un important soutien à distance aux migrants et témoigne d’événements tragiques et violents en Afrique du Nord.

Mark Zuckerberg a supprimé, le 7 janvier, le programme de fact-checking de Meta aux États-Unis. Il sera remplacé par des « notes communautaires » inspirées de X, réseau d’Elon Musk. Cette nouvelle modération inquiète l’Union européenne qui a fait de la lutte contre la désinformation l’une de ses priorités.

Le groupe Meta, qui contrôle Facebook et Instagram, a annoncé mardi 7 janvier le remplacement de son programme de vérification de faits par un système de modération en vigueur sur X. Un changement de pied qui est le signe d’un alignement sur la conception de la liberté d’expression défendue par l’administration Trump.

Meta, maison mère de Facebook ou Instagram, a annoncé, mardi 7 janvier, arrêter son programme de fact-checking aux États-Unis, critiqué par les Républicains et Elon Musk. Cet arrêt est vu comme une tentative de rapprochement de Mark Zuckerberg avec Donald Trump, à quelques semaines de son investiture.

Face à l’influence d’Elon Musk sur les élections américaines et une forte dépendance vis-à-vis des géants du numérique, des entreprises plaident pour un investissement fort dans les alternatives de l’économie sociale et solidaire. Une conquête de notre souveraineté numérique qui protégerait durablement nos démocraties.

Diffusé mardi 10 décembre à 21 h 05 sur France 5, ce documentaire rythmé et émouvant retrace le combat mené par cinq femmes aux quatre coins du globe dans le but de faire reconnaître la responsabilité des réseaux sociaux dans le mal-être de leurs enfants et, dans les cas les plus extrêmes, leur suicide.

Accusé d’avoir enfreint les règles de la concurrence en liant son service d’annonces publicitaires à son réseau social Facebook, Meta s’est vu infliger jeudi 14 novembre une amende de 798 millions d’euros par la Commission européenne. L’entreprise a annoncé qu’elle faisait appel.

Facebook, Twitter, TikTok… Les réseaux sociaux ne cessent d’happer notre attention, au risque de devenir une forme d’addiction. Mais ils sont aussi des outils pratiques pour s’informer, s’ouvrir au monde, se divertir. Faut-il alors tout couper, comme le suggère l’Australie, qui a annoncé jeudi 7 novembre son projet d’interdiction des réseaux aux moins de 16 ans, ou mieux doser ? Cas de conscience.

Le premier ministre australien a annoncé jeudi 7 novembre vouloir interdire aux moins de 16 ans d’accéder aux réseaux sociaux. Les entreprises de la tech et les réseaux sociaux auront la responsabilité de s’assurer que les utilisateurs ont l’âge requis – sous peine d’amende.

L’Union européenne a condamné Meta, la maison mère de Facebook, Instagram et WhatsApp, à une amende de 91 millions d’euros, vendredi 27 septembre, pour avoir enfreint le règlement général de protection des données (RGPD).

Sur Facebook, chaque jour, des pages publient des centaines d’images générées par l’intelligence artificielle. Derrière certaines se cachent des arnaqueurs qui ciblent les personnes qui tombent dans le piège de l’IA. Un nouveau stratagème baptisé boomer trap, ou « piège à boomers »

Le géant américain du Web Meta a annoncé lundi 16 septembre bannir l’accès à ses plateformes Facebook, Instagram et WhatsApp aux médias d’État russes afin d’éviter toute « activité d’ingérence étrangère ». Cette mesure vise notamment le média public russe RT, considéré comme un organe de propagande du Kremlin.

En captant à des fins commerciales nos vies connectées, les géants du numérique, Google et Facebook en tête, créent un « nouvel ordre économique » qui menace la démocratie. Telle est la thèse de la sociologue Shoshana Zuboff, qui s’inquiète de voir l’expérience humaine elle-même transformée en marchandise.

L’UE a ouvert la voie lundi 1er juillet à de lourdes sanctions financières contre Meta en estimant qu’il forçait les utilisateurs à un choix binaire (« payer ou consentir ») et ne respectait pas les règles européennes d’utilisation des données personnelles pour la publicité ciblée.

L’association autrichienne Noyb a annoncé, jeudi 6 juin, avoir porté plainte dans onze pays, dont la France, contre un changement de politique de confidentialité décidé par le groupe Meta. Depuis 2017, cette association de protection de la vie privée s’est érigée en vigie des données personnelles des utilisateurs européens.

La Commission européenne a ouvert, jeudi 16 mai, une enquête visant les réseaux sociaux Facebook et Instagram, soupçonnés notamment de développer des comportements addictifs chez les enfants. Il s’agit de la sixième enquête lancée par Bruxelles, et la deuxième visant Meta.

Meta et les opérateurs de réseaux sociaux ne doivent pas « transformer le droit fondamental à la protection des données » en une « option payante », a estimé le Comité européen de la protection des données, dans un avis rendu mercredi 17 avril. Il critique la formule d’abonnement adoptée par Facebook et Instagram.

Le logiciel CrowdTangle, qui permettait de suivre en temps réel la propagation de fausses informations sur Facebook, va être mis hors service par le géant des réseaux sociaux, Meta. En cette année électorale majeure, chercheurs et journalistes s’inquiètent d’un recul de la transparence, dangereux pour la démocratie.

Des plaintes ont été déposées, jeudi 29 février, par des associations de consommateurs de huit pays européens auprès des autorités de protection des données personnelles. La procédure vise le système d’abonnement payant mis en place par Meta sur Facebook et Instagram, accusé d’enfreindre les règles de l’UE.

La guerre à Gaza engendre une prolifération de contenus antisémites comme islamophobes sur les réseaux sociaux. Au nom de la lutte contre l’antisémitisme, Meta envisage d’encadrer davantage l’usage du mot « sioniste ». Plusieurs organisations s’alarment d’une possible « censure des voix pro-palestiniennes ».

L’ingénieure américaine Frances Haugen se confie, dans une autobiographie poignante, sur ce qui l’a poussé à lancer l’alerte en 2021 sur les pratiques de Facebook. Ce réseau social, né il y a tout juste vingt ans, le 4 février 2004, est accusé de favoriser sciemment la propagation de messages toxiques.

Lancé par quelques étudiants de Harvard en 2004, dont Mark Zuckerberg, Facebook a révolutionné les habitudes de centaines de millions d’utilisateurs : publication de photos, consultation de son fil d’actualité, partage de contenu… . Le réseau social, qui fête ses vingt ans dimanche 4 janvier, s’est rendu incontournable.

Lancé aux États-Unis le 4 février 2004, Facebook fête ses 20 ans. Sur la plateforme, comme sur celles nées dans son sillage, le lien se virtualise, s’expose, voire s’exhibe. Il peut aussi s’approfondir, mais l’injonction à l’entretenir en permanence peut être une source de stress.

Que reste-t-il de ce fantasmagorique projet de monde parallèle en 3D, éclipsé par ChatGPT ? Au-delà du fiasco apparent, les ambitions de Facebook dans le métavers ont favorisé l’émergence de tout un écosystème. Et le mot vient de faire son entrée dans l’édition 2024 du dictionnaire Le Robert.

L’ONG Human Rights Watch a accusé, jeudi 21 décembre, Meta de restreindre les contenus favorables aux Palestiniens sur Facebook et Instagram, dénonçant une « censure en ligne systémique » depuis le début de la guerre entre Israël et le Hamas.

Threads, le réseau social concurrent de X (ex-Twitter), arrive jeudi 14 décembre en Europe. Déjà lancé par la société américaine Meta, maison mère de Facebook, dans plusieurs pays, il était interdit dans les pays de l’Union européenne en raison de sa non-conformité aux règles de collecte de données personnelles.

Le groupe Meta, maison mère de Facebook et Instagram, est visé dans l’Union européenne par une plainte de dix-neuf associations de défense des consommateurs, dont UFC-Que choisir, ont annoncé ces dernières jeudi 30 novembre. En cause, son nouveau modèle d’abonnement payant, jugé « injuste ».

Mobilisés pour la première fois le 17 novembre 2018, les gilets jaunes ont 5 ans. Si le mouvement s’est essoufflé, les pages Facebook des groupes locaux demeurent, vestiges numériques d’un mouvement populaire.

Le régulateur européen a interdit, mercredi 1er novembre, au géant américain du numérique d’utiliser les données des utilisateurs de Facebook et d’Instagram à des fins de publicité ciblée sans leur consentement explicite. Un coup dur pour le groupe qui mise sur sa nouvelle offre d’abonnements payants pour se mettre en conformité.

Plus de quarante États américains ont lancé des poursuites, mardi 24 octobre, contre Meta. Le géant des réseaux sociaux, qui possède Facebook et Instagram, est accusé de nuire à la « santé mentale et physique de la jeunesse ». Cette action en justice représente l’aboutissement d’enquêtes menées depuis deux ans sur les méthodes des deux plateformes, considérées comme « addictives » par les autorités américaines.

Le Wall Street Journal a révélé début octobre que Meta, la maison mère de Facebook et Instagram, préparait le lancement d’un abonnement payant pour profiter de ces réseaux sociaux sans pub. Une manière de se conformer aux nouvelles règles européennes, qui imposent de donner aux utilisateurs la possibilité de refuser la publicité ciblée, sans y laisser son chiffre d’affaires.

Le tribunal correctionnel de Paris va juger à partir du mardi 3 octobre sept membres de l’ultragauche accusés d’« association de malfaiteurs terroriste ». L’usage de moyens de communication cryptés, pourtant légal, a été retenu par les enquêteurs comme un élément à charge.

Les parents d’une adolescente qui s’était suicidée en 2021 viennent de porter plainte contre TikTok, a-t-on appris lundi 18 septembre. Ils accusent la plateforme chinoise de « publicité des moyens de se donner la mort ». Cette plainte inédite illustre, une fois de plus, l’inefficacité de la modération que sont censés assurer les réseaux sociaux.

Les moyens techniques et financiers que les mastodontes américains comme Google allouent à la recherche en intelligence artificielle (IA) sont incomparables avec ceux dont dispose le monde académique. Cette force de frappe permet à l’industrie d’orienter le discours scientifique produit sur ces technologies.

Le nouveau règlement sur les services numériques (DSA) entré en vigueur le 25 août, vise à réguler les dix-neuf plus grosses plateformes en ligne. La Commission européenne a mis en place des outils de contrôle et averti des obligations nouvelles. Mais certaines plateformes entrent en résistance.

L’entrée en vigueur ce vendredi 25 août 2023 du règlement européen sur les services numériques (DSA) impose de nouvelles obligations aux géants de l’Internet comme Google, TikTok ou Booking. Mieux protégé contre les contenus illicites ou la publicité ciblée, l’utilisateur pourra aussi plus facilement exercer des recours.

Elon Musk a rebaptisé Twitter lundi 24 juillet, qui s’appellera désormais X. Une énième révolution depuis le rachat du réseau social par le milliardaire américain, qui suscite une fois de plus des envies de départ du côté des usagers, facilitées par l’existence d’une constellation de concurrents.

L’Arcom (ex-CSA) a publié, lundi 24 juillet, un bilan sur la lutte contre la diffusion de contenus haineux en ligne. Si les très grandes plateformes semblent avoir anticipé certaines des nouvelles obligations auxquelles elles seront soumises d’ici à un mois sur le sol européen, leur politique de modération manque toujours de transparence.

Meta a ouvert gratuitement et en « open source » son modèle de langage Llama 2 aux entreprises et aux chercheurs, mardi 18 juillet. Une décision stratégique qui fait remonter le géant des réseaux sociaux dans la course à l’intelligence artificielle générative.

En quelques heures après son lancement, le nombre d’utilisateurs sur l’application Threads, qui se veut être la première concurrente de Twitter, a explosé. Comment les autres réseaux sociaux étaient-ils parvenus à convaincre les internautes ?

La maison mère de Facebook, Meta, a lancé lundi 4 juillet sa nouvelle application en précommande. Baptisée Threads, cette plateforme devrait permettre de partager des messages écrits de manière instantanée et publique, dans une présentation similaire à celle de Twitter.

L’entreprise Meta a annoncé jeudi 22 juin qu’elle comptait retirer les contenus médiatiques de ses plateformes au Canada, en représailles contre une loi qui veut la forcer à rémunérer la presse. Comment le plan d’Ottawa compte-t-il faire courber l’échine aux géants comme Facebook et Google ?

Le RGPD, ou Règlement général sur la protection des données, fête les 5 ans de sa mise en œuvre, jeudi 25 mai. L’occasion de réviser vos droits numériques avec la Cnil qui célèbre, elle, ses 45 ans d’existence.

Ce Sud-Africain de 30 ans est à l’origine du premier syndicat de modérateurs de contenus, créé au Kenya le 1er mai 2023. Ancien employé d’un sous-traitant de Facebook, il a lancé l’alerte sur des conditions de travail jugées indignes.

Meta a été condamné lundi 22 mai à payer une amende de 1,2 milliard d’euros pour avoir enfreint les règles européennes sur la protection des données avec son réseau social Facebook. C’est l’amende la plus élevée jamais imposée en Europe pour ce type d’infractions.

Meta, maison mère des réseaux sociaux Facebook et Instagram, va supprimer 10 000 postes de plus, après une première vague de 11 000 licenciements début novembre, a annoncé mardi 14 mars le PDG du groupe, Mark Zuckerberg. Le groupe va perdre environ un quart de ses effectifs.

Le patron de la maison mère de Facebook, Mark Zuckerberg, a annoncé dimanche 19 février le lancement d’un abonnement payant pour authentifier son compte sur le réseau social Instagram, alors que le modèle économique de la plateforme vacille.

Airbnb a dégagé un profit pour la première fois de son histoire en 2022, a annoncé l’entreprise mercredi 15 février. De nombreuses sociétés de la tech ont mis longtemps avant d’engranger leurs premiers bénéfices, et certaines d’entre elles ne sont toujours pas rentables.

Meta (Facebook, Instagram, WhatsApp) a vu ses revenus annuels baisser à 116,61 milliards de dollars en 2022, soit une baisse de 1 % par rapport à 2021, la première diminution de son chiffre d’affaires annuel depuis que le géant des réseaux sociaux est entré en Bourse en 2012.

La société américaine Meta, maison mère de Facebook et Instagram, a annoncé mercredi 25 janvier qu’elle allait « mettre fin » à la suspension des comptes de l’ancien président des États-Unis sur ses réseaux, deux ans après son exclusion. Donald Trump avait été évincé des plateformes après l’assaut du Capitole.

Avec la banalisation des réseaux sociaux, de plus en plus de parents publient des photos de leurs enfants, sans leur autorisation. Des images pouvant nuire à la construction des jeunes, faire le lit du harcèlement sexuel et être détournées à des fins pédopornographiques.

Donald Trump et son équipe plaident pour un retour de l’ancien président sur Facebook, deux ans après la décision de la plateforme de suspendre son compte suite à l’assaut du Capitole.

Le groupe Meta, maison mère de Facebook, a écopé mercredi 4 janvier de 390 millions d’euros d’amende. Le régulateur irlandais, qui agit au nom de l’Union européenne, lui reproche d’avoir violé le Règlement général sur la protection des données (RGPD). Le groupe pourrait être contraint de mettre en place une « option de consentement » pour la publicité ciblée.

Pour mettre fin à un procès, Facebook, par l’intermédiaire de sa maison mère Meta, a accepté de payer 725 millions de dollars (environ 700 millions d’euros). Le réseau social était accusé d’avoir donné l’accès à des tiers, dont la société Cambridge Analytica, aux données privées des utilisateurs.

La maison mère de Facebook a annoncé le premier plan social de l’histoire du groupe mercredi 9 novembre. Pour réduire la taille de ses effectifs de 13 %, Mark Zuckerberg va supprimer 11 000 emplois.

Meta, la maison mère de Facebook, va congédier plusieurs milliers de ses salariés, a révélé la presse américaine lundi 7 novembre. Le secteur de la tech est affaibli par le ralentissement de l’économie mondiale dans un contexte de sortie de la crise sanitaire.

Il y a tout juste un an, Mark Zuckerberg rebaptisait la maison mère de Facebook en Meta, afin de marquer le pivot stratégique du groupe. Depuis l’entreprise a perdu 70 % de sa valeur en bourse, et se trouve en pleine déconfiture, tout en ayant investi plus de 20 milliards dans son projet de métavers.

Christian Delachet est le cofondateur de Wanted Community, une communauté d’entraide et de coopération sociale qui regroupe un million de membres. Cet ancien avocat fiscaliste vient d’ouvrir une branche à Paris, repaire de nombreuses actions solidaires.

Frances Haugen, ancienne employée de Facebook, a dévoilé jeudi 23 septembre les contours de sa future ONG Beyond the Screen, créée pour lutter contre les failles et les manquements des réseaux sociaux. Elle avait révélé l’an passé de graves manquements éthiques dans la gestion du réseau social.

Le ralentissement de l’activité est très net, alors que les perspectives économiques mondiales s’assombrissent.

Pour la première fois de son histoire, Meta, la maison mère de Facebook et Instagram, a enregistré une baisse de ses recettes mercredi 28 juillet.

Le Parlement européen a adopté, mardi 5 juillet, le DSA et le DMA, deux textes visant à réguler les géants du numérique américains. Si la nouvelle réglementation est ambitieuse, la question de son applicabilité reste entière.

L’Autorité de la concurrence a fait savoir jeudi 16 juin qu’elle ne sanctionnerait pas le géant américain dans le conflit qui l’opposait au français Criteo. Ce dernier l’accusait d’abus de position dominante.

Dix ans après son entrée en Bourse, Facebook est chahuté sur les marchés après avoir perdu des utilisateurs.

Les différentes instances de l’UE ont trouvé un accord, jeudi 24 mars, sur le texte qui doit permettre de mieux contrôler les pratiques anticoncurrentielles des grandes plateformes.

Twitter a annoncé jeudi 10 février avoir bouclé une belle année 2021. Le réseau social a vu croître son chiffre d’affaires de 37 % grâce à la publicité. Le groupe est pour l’instant épargné par les difficultés qui affectent Facebook.

Plusieurs grands groupes annoncent au même moment leur intention d’investir en achetant des terrains dans les métavers, ces mondes virtuels conçus par des entreprises technologiques. Ils y voient un nouveau canal de distribution et un laboratoire aux perspectives infinies pour mieux connaître leurs clients.

Excepté Facebook, les célèbres Gafam sortent de deux ans de crise sanitaire renforcés dans leurs positions et sont plus que jamais dominants sur les marchés où ils opèrent. Pourtant, l’hypothèse d’un démantèlement, si elle a encore ses hérauts, aura du mal à se concrétiser.

Plombé par des résultats décevants, le géant américain des réseaux sociaux a vu le cours de son action tomber en chute libre à l’ouverture des marchés financiers jeudi 3 février.

Suite aux résultats jugés décevants de Meta, la maison mère de Facebook, Mark Zuckerberg a déclaré faire face à une « concurrence croissante pour le temps des gens ». Une véritable bataille a lieu entre les géants d’Internet pour capter l’attention des utilisateurs et leurs données.

Les résultats des deux géants du Web, Google et Facebook sont tombés mercredi 2 février. Si le premier affiche des bénéfices exceptionnels, le groupe de Mark Zuckerberg a stagné au quatrième trimestre.

La France et l’Union européenne réclament davantage de transparence sur les mécanismes de modération des réseaux sociaux et travaillent à renforcer leurs obligations en la matière. Interrogés par La Croix, des modérateurs de contenus racontent des conditions de travail particulièrement difficiles.

Meta, la société qui a pris la place de Facebook, a annoncé mettre au point un supercalculateur pour affiner les modèles d’intelligence artificielle derrière le futur métavers. Une étape de plus dans la course au gigantisme informatique, entre monceaux de données et dévorante consommation énergétique.

Les deux géants du numérique écopent d’amendes records pour ne pas avoir permis à leurs utilisateurs de refuser facilement les « cookies ».

Adam Mosseri, le PDG d’Instagram, était auditionné par le Sénat américain, mercredi 8 décembre, sur les effets nocifs du réseau social sur la santé mentale des jeunes.

Les géants du Web vont devoir publier des informations détaillées sur les acheteurs de publicités politiques ciblées, sous peine de lourdes sanctions.

Meta, la société mère de Facebook, prévoit d’investir plusieurs dizaines de milliards de dollars par an pour construire le métavers, un univers virtuel connecté au réel. Dans la Silicon Valley, le géant du numérique est loin d’être le seul dans la course.

Avec de nouveaux équipements dédiés à la réalité virtuelle, un futur métavers se révélerait une source supplémentaire de pollution. Au détriment du monde réel.

Ancienne employée de Facebook, Frances Haugen alerte contre les dangers du plus grand réseau social mondial « pour les enfants, la sécurité publique et la démocratie ». Le 10 novembre, elle a répondu aux questions des députés et des sénateurs français.  « La Croix L’Hebdo » retranscrit des extraits de son audition.

La jeune femme détient des documents qui, selon elle, attestent de la mauvaise volonté du réseau social de se réformer. Elle est auditionnée ce mercredi 10 novembre par les députés de l’Assemblée Nationale, après avoir rencontré lundi les parlementaires du Royaume-Uni et de l’Union européenne.

Devant le Parlement européen, l’ex-employée de Facebook Frances Haugen a une nouvelle fois dénoncé les pratiques du réseau social. La lanceuse d’alerte enjoint l’Europe à fortifier les règles qui encadrent les grandes plateformes.

L’Union européenne planche depuis décembre 2020 sur des nouvelles normes européennes visant à mieux encadrer les géants du numérique.

La lanceuse d’alerte Frances Haugen, auditionnée ce lundi 8 novembre par les députés européens, a révélé que l’algorithme de Facebook pouvait stimuler le partage de contenus haineux. En France, de récents procès permettent de mieux comprendre les ressorts individuels de la haine en ligne et la responsabilité des plateformes.

Le sommet de l’économie numérique (Web summit) se tient à Lisbonne du 1er au 4 novembre. Le « métavers », nouveau projet phare de Facebook sera au centre de l’attention. L’analyse de Laurence Devillers, professeure en intelligence artificielle au CNRS et à la Sorbonne.

En rebaptisant jeudi 28 octobre sa maison mère, le groupe californien a souligné sa nouvelle priorité, le « métavers », un univers parallèle auquel les internautes accéderont via des technologies de réalité virtuelle. L’objectif est triple : séduire la jeune génération, rassurer les investisseurs et détourner l’attention des récents scandales.

Dix mois après Google, la presse quotidienne française signe un accord de licence avec Facebook pour la rémunération de ses contenus au titre des droits voisins. Ses modalités sont tenues secrètes, alors que le réseau social est sommé de rendre plus transparents ses algorithmes de distribution de l’information

L’ancien président américain avait été banni en janvier 2021 de Facebook, Twitter et YouTube après l’assaut du Capitole mené par ses partisans et au cours duquel cinq personnes avaient trouvé la mort.

10 000 emplois devraient être créés d’ici à cinq ans dans l’Union européenne pour travailler sur les « métavers », a annoncé Facebook dimanche 17 octobre. Ces univers virtuels autonomes où les utilisateurs peuvent interagir sous forme d’avatar vont être développés par le géant californien, qui souhaite en faire le réseau social de demain.

L’entreprise américaine mise sur cet espace numérique en réalité virtuelle pour se relancer, alors que ses déboires se multiplient sur le front de son réseau social.

Une semaine après la panne géante de Facebook et les déclarations alarmantes d’une lanceuse d’alerte devant le congrès américain, les algorithmes étaient au cœur de plusieurs débats organisés à « Médias en Scène ». Le festival a cette année pris pour thème : habiter un monde commun.

Le réseau social Facebook, qui compte plus de trois milliards d’utilisateurs dans le monde, est soumis à la critique d’une de ses anciennes cadres. L’accusation est étayée par des documents sur la construction d’algorithmes tournés vers la retenue de l’attention des utilisateurs au risque, estiment certains, de l’addiction.

L’audition au Sénat de Frances Haugen pousse les parlementaires à agir. Républicains et Démocrates pourraient s’unir sur des mesures visant à protéger les enfants contre l’influence toxique des réseaux sociaux.

L’ancienne employée de Facebook, Frances Haugen, a été entendue mardi 5 octobre devant le Congrès. Lanceuse d’alerte, l’ingénieure accuse l’entreprise de privilégier le profit au détriment des principes moraux et du bien-être de ses utilisateurs. Elle invite à la création d’une instance de régulation, pour favoriser la transparence.

Le groupe Facebook a indiqué lundi 4 octobre dans la soirée qu’un « changement de configuration défectueux » de ses serveurs était à l’origine du dysfonctionnement, qui a empêché aux milliards d’utilisateurs de ses services d’accéder à la plateforme, Instagram, WhatsApp ou Messenger pendant environ sept heures.

Deux ans après l’annonce en fanfare de la création d’une monnaie digitale 100 % made in Facebook, le géant de la Silicon valley concrétise le lancement d’un nouveau système de transaction numérique bien moins ambitieux.

Accusée par des utilisateurs américains d’avoir transféré leurs données personnelles sans leur consentement à d’autres logiciels, l’application de visioconférences a accepté de verser 70 millions d’euros de dédommagements à des utilisateurs mécontents.

En proposant des offices, des prières ou des appels aux dons en ligne, les Églises évangéliques figurent parmi les utilisatrices les plus fidèles de Facebook. « La Croix » a souhaité comprendre cette nouvelle manière de penser la foi à l’heure du numérique, non exempte de questionnements.

Au deuxième trimestre 2021, Microsoft, Google, Facebook et Apple ont cumulé plus de 56 milliards d’euros de profits. Une somme record, en attendant les résultats d’Amazon.

Les révélations du consortium de journalistes Forbidden Stories démontrent que, dans la droite lignée de ses précédentes affaires, l’entreprise israélienne NSO a permis à une quarantaine d’États d’espionner sa population.

Avec « Partager c’est sympa », Vincent Verzat dénonce sur YouTube et Facebook les abus du capitalisme et propose des solutions pour un monde plus juste, plus vert, plus humain. Génération réseaux sociaux - La relève (2/6).

Trois jours après l’approbation par le G20 d’une future taxe mondiale sur les bénéfices des multinationales, dont les géants du Net, l’Union européenne se voit contrainte de geler son propre projet de « taxe Gafam ».

L’Union européenne a annoncé mettre en pause son projet de taxe numérique sous la pression des États-Unis qui le jugeait « discriminatoire ». « La réussite de ce processus nécessitera une impulsion de la part de toutes les parties, et la Commission européenne s’est engagée à se concentrer sur cet effort », a déclaré un porte-parole.

Les grands argentiers du G20 ont approuvé l’accord « historique sur une architecture fiscale internationale plus stable et plus équitable ». Il instaure un impôt mondial d’« au moins 15 % » sur les bénéfices des multinationales.

La réunion des ministres de l’économie du G20 à Venise les 9 et 10 juillet doit porter en partie sur la réforme des règles fiscales internationales pour mieux taxer les multinationales. Pour l’économiste Gabriel Zucman (1), la situation actuelle n’est plus tenable.

Une Italo-marocaine de 23 ans a été condamnée, mercredi 30 juin, à trois ans et demi de prison ferme par la justice marocaine pour avoir partagé, sur Facebook, un texte imitant des versets du Coran.

Un juge a rejeté les accusations des autorités américaines qui accusaient le réseau social au pouce bleu de pratiques anticoncurrentielles et réclamaient le démantèlement du groupe. La bourse a salué cette décision en valorisant pour la première fois le réseau social au-delà des 1 000 milliards de dollars.

Facebook a confirmé l’interdiction de séjour des messages de Donald Trump sur sa plateforme. Depuis son bannissement des principaux réseaux sociaux, l’ancien président continue de bouillir mais peine à porter son message hors de ses cercles d’influence.

Le conseil de surveillance du réseau social a décidé de maintenir les restrictions du compte de l’ancien président américain, en vigueur depuis janvier 2021.

Plusieurs sportifs et clubs, principalement anglais, ont lancé vendredi 30 avril un mouvement de boycott des réseaux sociaux prévu pour durer tout le week-end afin de protester contre les injures en ligne, notamment le racisme. Ils ont été rejoints par le prince William, en tant que président de la Fédération anglaise de football.

La professeure de droit de la concurrence Lina Khan est l’une des voix les plus influentes en faveur du démantèlement des géants de l’Internet. Le président américain Joe Biden a indiqué vouloir la nommer commissaire au sein de l’agence américaine de la concurrence (FTC).

Les réseaux sociaux intègrent de plus en plus la voix humaine dans leur fonctionnement. La crise sanitaire accélère cette tendance de fond qui dessine l’avenir des plateformes et de nos données les plus personnelles.

Après une âpre bataille avec les mastodontes de l’Internet Google et Facebook, l’Australie a finalement adopté sa loi pour les forcer à rémunérer les médias. Une première mondiale qui pourrait ouvrir la voie à d’autres pays. Le Canada prépare déjà la riposte.

La décision du réseau social a pris effet jeudi 25 février. Elle s’applique aux militaires et aux entités contrôlées par les forces armées sur Facebook et Instagram, alors que des affrontements ont opposé des manifestants pro-junte aux manifestants pro-démocratie.

Le réseau social avait bloqué la totalité des contenus d’actualité émanant d’organisations australiennes après l’adoption d’un projet de loi contraignant l’entreprise à les rémunérer.

En représailles à un projet de loi visant à faire payer à Facebook le contenu des médias australiens qu’il diffuse, ce dernier a bloqué le partage d’articles d’information en Australie. Google, également visé, a choisi de rentrer in extremis dans le rang. Une guerre nationale contre les géants du net scrutée de près à l’étranger.

Jeudi 18 février, les utilisateurs australiens de Facebook ne pouvaient plus consulter les liens d’informations provenant de médias locaux ou internationaux. Le réseau social a expliqué avoir agi contre un projet de loi du gouvernement, destiné à contraindre les plateformes à rémunérer les médias pour la reprise de leurs contenus.

Le patron d’Apple Tim Cook vient de déclarer la guerre à Facebook en annonçant le lancement au printemps d’une fonctionnalité qui obligera les applications mobiles à demander aux utilisateurs leur permission avant d’utiliser leurs données.

Des nombreux utilisateurs de la messagerie instantanée s’interrogent devant les nouvelles conditions imposées par la maison-mère Facebook en matière de partage de données personnelles. Ces informations privées seront cependant moins siphonnées en Europe qu’ailleurs dans le monde.

Il faut limiter la puissance des géants du numérique.

L’application de messagerie Signal caracole en tête des téléchargements sur Android et Apple dans plusieurs pays depuis quelques jours. Ce boom s’explique par l’annonce du changement des règles d’utilisation de WhatsApp, utilisée par deux milliards de personnes dans le monde.

Après l’assaut de militants pro-Trump sur le Capitole, Facebook, Twitter, Instagram, Snapchat et Twitch ont adopté, comme mesures de rétorsion, le blocage des comptes de Donald Trump et pour une durée indéterminée. Le pouvoir de censure des réseaux sociaux interroge et inquiète.

Après le plan de relance, l’offensive de Bruxelles contre les géants du numérique est un nouvel indice de vitalité de la Communauté européenne.

Facebook a annoncé, mardi 15 décembre, avoir démantelé trois réseaux de faux comptes, – deux russes et un français –, dans le cadre de sa politique de lutte contre les « comportements inappropriés coordonnés ». Le ministère français des armées déclare n’être « pas en mesure d’attribuer d’éventuelles responsabilités ».

La Commission de la concurrence et 48 États américains portent plainte pour abus de position dominante contre le géant californien.

Un rapport d’Amnesty International alerte sur la hausse du nombre de prisonniers d’opinion dans le pays. Beaucoup sont arrêtés pour leurs activités en ligne grâce à l’intervention des géants du numérique.

La monnaie numérique créée à l’initiative de Facebook, la libra, devrait être finalement lancée en janvier prochain. Mais les ambitions du projet ont été revues à la baisse : la libra sera un simple jeton virtuel, indexé sur le dollar, et non un système monétaire alternatif.

Les géants du numérique s’apprêtent à annoncer leurs résultats pour le troisième trimestre. Le confinement du printemps avait fait leurs affaires.

Facebook et Twitter ont bloqué, mercredi 14 octobre, le partage d’un article du New York Post sur les liens entre Hunter Biden, fils de l’ancien vice-président Joe Biden, et le groupe gazier ukranien Burisma. Les partisans de Donald Trump accusent les réseaux sociaux de censure.

Facebook multiplie les mesures afin de limiter la diffusion de fausses informations. Ce mercredi 7 octobre, le réseau social le plus utilisé au monde a annoncé bannir les publicités politiques le soir de l’élection. La juriste Anne Deysine revient sur le rôle des réseaux sociaux dans la campagne américaine.

Le comité antitrust de la Chambre des représentants américains préconise des mesures drastiques pour limiter l’expansion des géants du numérique, accusés d’être devenus des « monopoles ».

L’exploitation de nos données personnelles et de notre vie privée par les géants du Net ne cesse d’augmenter. Mais un autre numérique est possible, qui propose des solutions respectueuses de nos données personnelles, créées dans un esprit collaboratif et soucieuses de leur impact sur la planète. Ce guide vous invite à les découvrir.

Alain Cocq, atteint d’une maladie orpheline incurable, a décidé de filmer et de diffuser en direct son agonie sur le réseau social Facebook. Par son geste, il souhaite attirer l’attention sur l’aide à mourir, qu’on lui refuse en France. Que disent les règles de modération de Facebook sur ce sujet ?

L’indice S & P 500, qui représente les 500 plus grandes entreprises cotées à Wall Street, a atteint un niveau record le mardi 18 août. Cette bonne santé s’explique par les mesures budgétaires et monétaires prises à l’échelon fédéral américain, mais aussi par les résultats meilleurs que prévu de certains secteurs.

Sommés de lutter contre les « fake news », les réseaux sociaux tentent de contrôler davantage ce que publient leurs utilisateurs, notamment Facebook qui paye pour cela des médias de « fact-checking ». Mais ces pratiques suscitent des inquiétudes sur la liberté d’expression.

Alors que de nombreux propos négationnistes sont laissés sur Facebook, la Claims Conference a lancé sur ses réseaux sociaux une vaste campagne de plaidoyer à l’intention de Mark Zuckerberg, PDG de Facebook. À travers des témoignages quotidiens, des survivants de la Shoah l’appellent à interdire de telles publications.

La guerre entre Donald Trump et les réseaux sociaux est relancée. Après la publication d’une vidéo sur la supposée immunité des enfants face au coronavirus, Facebook et Twitter ont accusé le président des États-Unis de désinformation sur la pandémie. Déclenchant ainsi une nouvelle polémique.

Le polémiste Dieudonné a été exclu de Facebook et Instagram le 3 août, après la suppression de son compte YouTube en juin. Cette décision illustre la possibilité pour les Gafa de réguler leurs contenus. Tristan Mendès France, spécialiste des cultures numériques, nous donne son point de vue.

Vendredi 31 juillet, l’Australie a dévoilé un projet de loi pour contraindre Google et Facebook à rémunérer les médias en échange de leurs contenus. Sur un marché dominé par les géants du numérique, cette démarche inédite est un premier pas encourageant pour les médias du monde entier.

Après YouTube, le polémiste controversé Dieudonné a été banni de manière définitive de Facebook et Instagram pour avoir publié du contenu se moquant des victimes de la Shoah, et, plus généralement, avoir tenu des termes déshumanisants à l’encontre des juifs.

Les patrons de Google, Facebook, Amazon et Apple ont été auditionnés mardi 29 juillet par la commission judiciaire de la Chambre des représentants à Washington. Au menu des accusations : abus de pouvoir, collecte des données personnelles, frein à la concurrence, complots anti-républicain…

Facebook et WhatsApp ont annoncé lundi 6 juillet suspendre l’examen des demandes du gouvernement concernant les données des utilisateurs de Hong Kong.

Facebook et Twitter ont sévi mercredi 5 août et ont fait retirer une vidéo de Donald Trump qui participait à la désinformation autour de la pandémie de coronavirus. Ce n’est pas la première fois que les réseaux sociaux étrillent le président américain et masquent certains de ses messages polémiques.

Constatant « la position dominante de Facebook », la Cour fédérale allemande a ordonné mardi 23 juin à l’entreprise de Mark Zuckerberg de cesser de collecter les données personnelles de ses utilisateurs. La justice d’outre-Rhin veut que la société américaine demande préalablement un « accord explicite ».

Le message, qui promettait de lutter contre les « antifas », arborait un triangle inversé rouge, symbole imposé par les nazis aux prisonniers politiques dans les camps de concentration.

Flore Vasseur revient sur la polémique autour de Donald Trump et les réseaux sociaux.

Au nom de la liberté d’expression, Mark Zuckerberg refuse de sanctionner les messages des personnalités et hommes politiques. Il n’a pas suivi Jack Dorsey, le patron de Twitter, qui a décidé de signaler des tweets de Donald Trump jugés trompeurs et qui en a masqué un autre pour incitation à la violence.

La chronique d’Alexis Jenni.

Facebook et Twitter prennent conscience de leurs responsabilités dans la formation de l’opinion et commencent à réagir aux attaques visant à influencer le résultat des élections.

L’approche des élections municipales en France est l’occasion de s’interroger : quel rôle jouent les réseaux sociaux dans le processus démocratique ? Un maître de conférences et le fondateur de Make.org nous livrent leur vision.

Dans cette petite commune rurale du Lot-et-Garonne, au moins deux candidats à la mairie ont largement investi les réseaux sociaux. Les débats en ligne ont nourri leurs programmes.

Le Brexit puis l’élection de Donald Trump ont démontré, en 2016, que les réseaux sociaux étaient de puissants outils de manipulation politique pour qui maîtrise l’art obscur des données. Une ancienne cadre de Cambridge Analytica, l’entreprise au cœur du scandale, décrit, de l’intérieur, l’ampleur du phénomène.

Le classement Brand Finance, publié mercredi 22 janvier, estime à près de 200 milliards d’euros la valeur de la marque du leader mondial du commerce en ligne. Dans ce palmarès dominé par le secteur des technologies, les Américains occupent cinq des dix premières places. Première entreprise française, Total pointe en 71e position.

Après le référendum sur le Brexit et l’élection présidentielle américaine en 2016, Cambridge Analytica aurait tenté de manipuler d’autres scrutins majeurs. L’entreprise britannique se serait servie des données personnelles des utilisateurs de Facebook pour influencer le choix des électeurs bien au-delà des États-Unis et du Royaume-Uni.

Les deux entreprises tirent d’importants revenus de l’utilisation des données personnelles de leurs utilisateurs. Ces data sont même l’« or noir » de la nouvelle économie numérique en construction.

Les deux géants du Web ont des milliards d’utilisateurs mais les plateformes comme Google et Facebook sont accusées de menacer notre vie privée. Peut-on s’en passer ? Nous avons tenté l’expérience.

Créée en 2011 comme un groupe d’échange de bons plans sur Facebook, la Wanted Community est devenue la communauté de solidarité la plus importante du réseau social en France.

Dans ce livre, Julien Le Bot s’intéresse autant au créateur de Facebook qu’à sa créature.

Le gouverneur de la Banque de France a indiqué mercredi 4 décembre qu’il souhaitait expérimenter l’an prochain une « monnaie digitale de Banque centrale », ouvrant la route à la création d’une cryptomonnaie publique européenne. C’est une réponse au projet de Facebook de créer une monnaie numérique privée, le Libra.

En constatant qu’ils fournissent les services d’accès à internet à des milliards d’utilisateurs dans le monde, l’ONG Amnesty International met en cause, dans un rapport, le modèle économique des deux géants du net, fondé sur la collecte des données.

Déjà unis face à Google et son contournement de la loi sur les droits voisins, les éditeurs de presse ont dénoncé dimanche 27 octobre une démarche similaire de la part de Facebook, qui vient de modifier ses paramètres d’affichage des articles de presse.

Auditionné par une commission du Congrès américain, le patron du réseau social, Mark Zuckerberg va tenter d’argumenter en faveur de son projet de cryptomonnaie, très contesté. Les gouvernements européens envisagent une interdiction, tandis que des partenaires initiaux s’éloignent.

La France, l’Italie et l’Allemagne préparent ensemble une série de mesures pour interdire en Europe la future cryptomonnaie de Facebook, a annoncé vendredi 18 octobre Bruno Le Maire, le ministre français de l’économie.

L’entreprise de services de paiement PayPal a annoncé vendredi 4 octobre 2019 qu’elle ne prendrait pas part, finalement, au projet de monnaie numérique porté par Facebook. Une décision qui pourrait être suivie par d’autres et qui fragilise un peu plus le libra.

La Cour de justice de l’Union européenne a jugé qu’un hébergeur de contenus peut être contraint de supprimer au niveau mondial des commentaires jugés diffamatoires ou injurieux par une juridiction d’un pays de l’UE.

Le géant californien prévoit de lancer, en 2020, un espace social accessible via les casques de réalité virtuelle, où les internautes utiliseront des avatars aux allures de personnages de dessins animés.

Le diocèse de Marseille a signalé, dimanche 15 septembre, la création d’un faux compte Twitter au nom de Mgr Jean-Marc Aveline, son nouvel archevêque. À l’instar des stars de cinéma, de la scène musicale, sportive ou des responsables politiques, l’usurpation d’identité n’épargne ainsi pas, sur les réseaux sociaux, les représentants d’Église.

Une coalition d’États américains devrait officialiser lundi 9 septembre le lancement d’une enquête coordonnée sur les pratiques supposées anticoncurrentielles de Google. Une enquête du même type a été lancée officiellement vendredi 6 septembre contre Facebook.

INFO LA CROIX - Dans une interview exclusive, le ministre français de l’économie se prononce pour la création d’une monnaie numérique publique gérée par les banques centrales, destinée à faire baisser le coût des transactions internationales. C’est une réponse au projet de monnaie privée porté par Facebook, la libra, que l’entreprise veut lancer en 2020.

Le président de la République Emmanuel Macron a annoncé, lundi 26 août, un compromis qui devrait apaiser les tensions entre les États-Unis et la France au sujet de la taxe sur les géants du numérique. Un accord devra être trouvé au sein de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).

Le réseau social, qui a longtemps nié agir de la sorte, avoue avoir fait retranscrire des enregistrements de conversations via son application Messenger.

Un homme a été condamné mardi 6 août à cinq ans de prison par le tribunal correctionnel de Rennes pour avoir violemment agressé son voisin et avoir diffusé les images en direct sur Facebook. La plateforme gouvernementale de signalement Pharos, alertée par les internautes, a permis une réaction rapide des forces de l’ordre.

Finance Watch, l’ONG européenne spécialisée dans la lutte contre les dérives de la déréglementation financière alerte sur les dangers de la Libra, la monnaie numérique de Facebook.

Aux États-Unis, Facebook a été condamné à une amende record de 5 milliards de dollars pour non-respect de la vie privée, mercredi 24 juillet. Bien qu’exceptionnelle, cette sanction ne devrait pas changer grand-chose pour les utilisateurs, dont les données personnelles restent le cœur du modèle économique du groupe.

Le réseau social tente de rassurer à propos de sa future crypto-monnaie qui inquiète de plus en plus les gouvernements. Le Sénat des États-Unis devait auditionner mardi 16 juillet David Marcus, responsable de la libra chez Facebook. Le sujet devrait aussi être au menu des discussions des ministres des finances du G7.

Le premier réseau social de la planète s’apprête à créer une crypto-monnaie, en collaboration avec une vingtaine de grands partenaires. Elle devrait faciliter les transactions sur Internet mais livrera à Facebook beaucoup d’informations sur la vie privée des utilisateurs.

Le réseau social américain a annoncé vendredi 7 juin que ses applications ne seront plus pré-installées sur les nouveaux appareils du groupe chinois Huawei, visé par des sanctions américaines prises au nom de la sécurité nationale.

Un rapport de l’ONG Avaaz révèle l’ampleur de l’audience de la désinformation sur les réseaux sociaux dans six pays. Malgré le phénomène, la cellule de surveillance de l’Union européenne n’a pas jugé qu’il convenait d’enclencher une alerte spécifique.

Déjà adopté à l’Assemblée, le projet de loi instituant une taxation des géants du numérique en France doit désormais être examiné au Sénat.

Grands patrons d’entreprises technologiques et responsables politiques seront réunis ce mercredi 15 mai à Paris à l’occasion d’une réunion du G7 et du sommet « Tech for Good ». Ils travaillent sur une charte pour lutter contre les propos haineux en ligne.

Reçu vendredi 10 mai à l’Elysée par Emmanuel Macron, le patron de Facebook Mark Zuckerberg laisse régulièrement entendre que sa plateforme va révolutionner le fonctionnement de la démocratie. Stratégie de communication ou idéal sincère ?

Le réseau social récolte les données produites par ses utilisateurs en échange de son service mais leur impose aussi la publicité.

La force de Facebook, c’est d’avoir inventé un certain nombre de nouveaux usages qui se sont largement imposés.

Les députés examinent ce jeudi 9 mai la proposition de loi, déjà adoptée par le Sénat, visant à instituer un « droit voisin » à celui du droit d’auteur pour les agences et éditeurs de presse, afin d’obtenir une meilleure rémunération de leurs contenus par les géants du numérique.

Lors de sa conférence annuelle des développeurs, mardi 30 avril, en Californie, Facebook a annoncé, entre autres changements, une messagerie cryptée, une mise en avant des groupes et des rencontres facilitées dans la vie réelle.

Constatant que les 28 pays de l’UE ne parviennent pas à s’entendre sur une taxe européenne sur les géants d’Internet, la France décide de faire cavalier seul.

Le réseau social s’est engagé mardi 9 avril à faire preuve de davantage de tact en cas de décès d’un membre, en suspendant les notifications de la part de comptes de personnes décédées.

Facebook a annoncé, vendredi 29 mars, le lancement d’un dispositif de transparence publicitaire dans l’Union européenne pour éviter les ingérences dans la campagne pour les Européennes.

La société Harris Interactive a publié une étude s’intéressant au regard des pays d’Europe sur les géants américains d’Internet – les fameux GAFAM – et sur les actions européennes à leur égard. L’étude révèle une certaine méfiance, notamment française, quant à l’influence des GAFAM sur le droit d’auteur et la circulation des données numériques.