« Ce qui est terrible avec le narcotrafic, c’est qu’on a l’impression d’un puits sans fond », soupire Frédéric Gallet, du syndicat de police Alliance. « Tous les jours, on fait des interpellations près des points de deals : on arrête des vendeurs, des guetteurs, des consommateurs… Régulièrement aussi, on interpelle des individus ayant pris part à des règlements de compte, parfois très violents. Mais on a le sentiment que cela n’impacte en rien le trafic. Les gens arrêtés sont aussitôt remplacés et dès le lendemain, cela repart », poursuit ce responsable syndical en poste en Ille-et-Vilaine.
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