Analyse

Fin de vie : des professionnels des soins palliatifs qui veulent être « la vigie et le moteur des soins de vie »

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La ministre de la santé Catherine Vautrin a été un peu chahutée lors de sa visite du congrès de la Société française d’accompagnement et de soins palliatifs (Sfap).
La ministre de la santé Catherine Vautrin a été un peu chahutée lors de sa visite du congrès de la Société française d’accompagnement et de soins palliatifs (Sfap). TERESA SUAREZ / EPA/MAXPPP
Quelque 3 000 membres de la Société française d’accompagnement et de soins palliatifs (Sfap) sont réunis à Lille du 18 au 20 juin sur le thème « Prendre soin ». Un congrès ouvert par la visite quelque peu chahutée de la ministre de la santé Catherine Vautrin.

Inquiétude : c’est le mot qui a spontanément et massivement surgi du vote des quelque 3 000 médecins, infirmières, aides-soignantes et bénévoles d’accompagnement présents, ce mercredi 18 juin, dans l’amphithéâtre du Grand Palais de Lille. Le congrès de la Sfap, la société savante qui regroupe 16 000 membres, soit la majorité des intervenants au chevet des malades en fin de vie, s’y déroule pendant trois jours.

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