Au cours de l’Eucharistie, « source et sommet de la vie chrétienne », le pain et le vin, fruits de la terre et du travail des hommes, deviennent le corps et le sang du Christ. Mais, les hosties et le vin, utilisés pour la messe, sont-ils à la hauteur d’un tel sacrement ? Non, répond Benoît Sibille. Début mars, ce professeur de philosophie à l’Institut catholique de Paris a publié Défense du pain et du vin (Ed. Ad Solem), dans lequel il s’étonne de l’indifférence que semble témoigner l’Église sur l’origine des hosties et du vin.
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