Analyse

En Inde, les prêtres frondeurs de l’Église syro-malabare rejettent l’ultimatum du Vatican

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Cathédrale de la Basilique saint Mary’s Syro à Ernakulam, Inde. Malgré la menace d’excommunication, le clergé du diocèse syro-malabar d’Ernakulam-Angamaly a réaffirmé son opposition à l’alignement sur la liturgie adoptée par cette Église orientale il y a plus de 20 ans.
Cathédrale de la Basilique saint Mary’s Syro à Ernakulam, Inde. Malgré la menace d’excommunication, le clergé du diocèse syro-malabar d’Ernakulam-Angamaly a réaffirmé son opposition à l’alignement sur la liturgie adoptée par cette Église orientale il y a plus de 20 ans. Muthuraman V / IMAGEBROKER/MAXPPP
Malgré la menace d’excommunication, le clergé du diocèse syro-malabar d’Ernakulam-Angamaly a réaffirmé son opposition à l’alignement sur la liturgie adoptée par cette Église orientale il y a plus de vingt ans. La messe du 25 décembre y a toutefois été célébrée selon ce missel, « en signe de respect » pour le pape François.

Le Vatican les avait menacés d’excommunication s’ils refusaient d’appliquer la réforme liturgique, pourtant votée il y a près de vingt-cinq ans. L’ultimatum fixé le jour de Noël n’a été que très partiellement accepté par les prêtres du diocèse syro-malabar d’Ernakulam-Angamaly (Inde), où sont recensés 10 % des fidèles de cette Église orientale.

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