Salle Paul VI, personne ne peut les ignorer. Depuis les premières heures du Synode, le 4 octobre, les représentants de l’Église allemande suscitent bon nombre de commentaires, d’attentes et de craintes. La raison : le chemin synodal lancé en 2019 outre-Rhin, en réaction à un rapport sur la pédocriminalité au sein de l’Église. Depuis, cette démarche fait l’objet de critiques croissantes à Rome, y compris de la part du pape et des plus hauts responsables de la Curie, qui y voient un risque de schisme grandissant avec Rome. Mais ils incarnent aussi, aux yeux du Vatican, ce que les membres du Synode pour l’avenir de l’Église doivent absolument éviter : une politisation des débats et l’instauration d’une logique parlementaire, contre laquelle le pape n’a cessé de mettre en garde.
Chronique
Synode, inévitables Allemands
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Loup Besmond de Senneville
Maxime Matthys
La présence des évêques allemands au Synode nourrit de nombreuses discussions. Depuis Rome, nos envoyés spéciaux suivent le Synode et vous le racontent. Dans l’œil du synode.
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