L’ancien président gabonais Ali Bongo Ondimba a été entendu par la justice française mardi 1er juillet, au lendemain des auditions de son épouse Sylvia et leur fils Noureddine, dans le cadre de leur plainte pour « séquestration en bande organisée, détention arbitraire, actes de torture et de barbarie ». Les victimes plaignantes, qui se sont constituées parties civiles, ont été reçues par deux juges d’instruction du pôle Crimes contre l’humanité du Tribunal de grande instance de Paris.
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