Analyse

La famille Bongo, « séquestrée » au Gabon après le coup d’État, veut obtenir justice à Paris

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Une affiche du président Ali Bongo dans les rues de Libreville, au Gabon, le 30 août 2023, le jour de son éviction du pouvoir.
Une affiche du président Ali Bongo dans les rues de Libreville, au Gabon, le 30 août 2023, le jour de son éviction du pouvoir. Yves Laurent / AP
« Personne n’est au-dessus des lois et chacun a droit à sa dignité », martèle Me François Zimeray, l’un des avocats de l’ancien chef d’État gabonais, Ali Bongo Ondimba, de son épouse franco-gabonaise Sylvia et de leur fils Noureddine.

L’ancien président gabonais Ali Bongo Ondimba a été entendu par la justice française mardi 1er juillet, au lendemain des auditions de son épouse Sylvia et leur fils Noureddine, dans le cadre de leur plainte pour « séquestration en bande organisée, détention arbitraire, actes de torture et de barbarie ». Les victimes plaignantes, qui se sont constituées parties civiles, ont été reçues par deux juges d’instruction du pôle Crimes contre l’humanité du Tribunal de grande instance de Paris.

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