« C’est une loi qui va nous permettre d’avoir une reconnaissance légale », salue Guillaume Le Grand. Sa société de transport maritime, TOWT, convoie passagers et marchandises vers les Antilles ou les États-Unis, à raison de 1 200 tonnes par navire. Loin des gigantesques porte-conteneurs alimentés au fioul, sa flotte ne comprend que des voiliers. Les entreprises françaises qui ressortent les voiliers de marine marchande des profondeurs de l’histoire sont de plus en plus nombreuses.
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