Analyse

Le Royaume-Uni et les États-Unis célèbrent un accord de libre-échange « historique »

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Le Premier ministre britannique Keir Starmer s’adresse aux employés d’une usine automobile dans les West Midlands le 8 mai 2025, en Angleterre.
Le Premier ministre britannique Keir Starmer s’adresse aux employés d’une usine automobile dans les West Midlands le 8 mai 2025, en Angleterre. Alberto Pezzali-WPA Pool / Getty Images/AFP
Londres est la première capitale à avoir obtenu un accord commercial avec Washington. S’il demeure relativement ciblé sur les automobiles et l’acier anglais d’un côté, et les produits agricoles américains de l’autre, des négociations plus larges vont se poursuivre dans les semaines à venir.

Le Royaume-Uni a réussi un coup d’éclat diplomatique. Jeudi, le premier ministre britannique Keir Starmer et son homologue américain Donald Trump ont annoncé s’être entendus en vue d’un accord commercial entre leurs deux pays. « Je suis ravi d’annoncer que nous sommes parvenus à un accord commercial décisif avec le Royaume-Uni, l’un de nos alliés les plus chers, (…) qui amènera le Royaume-Uni à s’aligner sur les États-Unis en matière de sécurité économique », a fait savoir le président américain depuis son bureau de la Maison-Blanche.

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