Ce polar hyperréaliste, écrit par un chauffeur de taxi, est publié en France, trente ans après sa publication à compte d’auteur.

Ce polar hyperréaliste, écrit par un chauffeur de taxi, est publié en France, trente ans après sa publication à compte d’auteur.
La sociologue Caroline Dawson, qui est née au Chili et a grandi au Québec, témoigne de la difficile intégration des exilés.
Avec « Wanted », le président de l’Académie Goncourt Philippe Claudel signe une farce comico-tragique sur les errements du trio infernal Donald Trump, Elon Musk et Vladimir Poutine.
Pendant quatre mois d’hiver, Emmanuel Ruben a sillonné le Japon à vélo pour en explorer la singulière étrangeté.
Après Les Taiseux, paru en 2009, Jean-Louis Ezine poursuit la quête de ses origines incertaines, avec le soutien d’un violoncelle.
À la recherche de son passé dans son village breton, Jean-Paul Kauffmann recompose l’atmosphère d’une époque enfuie.
Après la mort de son père, flamboyant et trop absent, Frédéric Beigbeder découvre un homme mystérieux et attachant.
À 84 ans, Régis Debray poursuit son bilan autobiographique, en émiettant une série d’instantanés.
Dans son nouveau livre, le trop méconnu Thomas Morales fait l’éloge de la province, abandonnée, oubliée, rejetée.
Pour la collection Ma nuit au musée, Thierry Frémaux s’est enfermé dans l’institution dont il est le directeur, à Lyon.
Avec ce portrait de femme en perdition, Mathieu Belezi comble une lacune sur ce chapitre d’histoire de la colonisation de l’Algérie laissé en jachère.
Michel Bezbakh fait son entrée en littérature avec un premier roman sidérant. Il projette le lecteur dans le monologue intérieur, étouffant, violent, sans échappatoire, d’un homme déboussolé, rivé à ses misérables convictions, machistes et racistes.
François Morel et Laurent Gerra se définissent comme « fantaisistes ». Un joli mot à l’ancienne qui justifie le choix de L’Hebdo de les rapprocher, pour qu’ils évoquent, au-delà de leurs différences de registre, leur envie de faire rire le public. Dans une époque qui installe au firmament des humoristes sans limites, prêts à tout pour exister, ils revendiquent la noblesse d’un métier d’artisan et leur souci de rassembler.
Dans son premier roman Feydeau s’en va, Thierry Thomas fait vivre le déclin du vaudevilliste dans le Paris de la Belle Époque.
Les voyages forment la jeunesse… Cette improbable épopée, à la manière des hobos américains, dans des wagons de marchandises, est transfigurée par l’humour irrésistible de Philibert Humm.
Dans un rageur roman d’anticipation, Emmanuel Ruben imagine une catastrophe nucléaire en 2036 sur les bords du Rhône.
Avec ce premier roman, Quentin Jardon explore les causes d’un certain Chagrin moderne. L’auteur belge imagine la dérive existentielle d’un humoriste en panne d’inspiration.
Casier judiciaire vierge, concours, tests médicaux et psychologiques, les pré-requis pour devenir contrôleur de train à la SNCF sont stricts à l’image des missions qui leur sont confiées. Chacune de leur tâche est codée pour assurer la sécurité des passagers.
TGV, Ouigo, Intercités, train de nuit, nous avons suivi une douzaine de chefs de bord à la SNCF dans l’exercice de leurs missions, bien plus importantes et cruciales que le simple contrôle des billets.
Une évadée anglaise, dans l’Australie du XIXe siècle, est recueillie dans le bush par une tribu nomade qui l’initie aux secrets de sa survie.
Pendant quelques mois, Julien Blanc-Gras a embarqué femme et enfant dans un périple en Asie pour changer d’air.
Jean-Pierre Martin, ancien militant de la Gauche prolétarienne devenu aujourd’hui professeur de littérature, revient sur deux mois d’emprisonnement sans lumière pendant sa jeunesse.
Philippe Claudel est devenu président de l’Académie Goncourt lundi 13 mai. Romancier tardif, apparu sur la scène littéraire à 37 ans, Philippe Claudel, romancier, réalisateur, aujourd’hui âgé de 62 ans, a surgi au cinéma, à 45 ans, avec un premier film couvert de prix. Nous l’avions rencontré en août 2018 dans le cadre d’une série de portraits intitulée « De l’écrit à l’écran ».
Le plus grand festival de cinéma du monde ouvre ses portes mardi 14 mai. L’occasion de voir ou revoir les œuvres de ceux qui font vibrer la Croisette.
L’ancien producteur et animateur d’« Apostrophes » et de « Bouillon de culture » est décédé à Neuilly-sur-Seine, lundi 6 mai. Il avait 89 ans. Son dernier ouvrage, paru en 2022, était un éloge de l’amitié dont, déjà très malade, il n’avait pu assurer la promotion.
Avec « Imagine Claudine », l’ancien régent du Collège de pataphysique Paul Fournel revient avec une série de nouvelles entrecroisées
Après d’autres éditeurs, les éditions Finitude tentent de sortir cet auteur bordelais de son trop long purgatoire.
Francis Navarre, « charpentier lettré », décrit dans un récit initiatique la réalité de son métier.
Dans sa chronique « Entracte », Jean-Claude Raspiengeas revient sur la disparition de Letizia Storti, ouvrière, qui avait tenté de se suicider dans son usine un an plus tôt. La romancière et scénariste Anne Plantagenet, qui l’a connue sur le tournage d’En guerre, en fait le récit, dans une parution aux éditions Seuil ce vendredi 5 avril.
« Entracte », la chronique de Jean-Claude Raspiengeas.
Cyril Roger-Lacan nous plonge dans l’univers feutré de la corruption, dépassé par la brutalité des nouveaux maîtres du monde.
Les Éditions du Tripode entament la publication de l’intégrale des romans de Mathieu Belezi sur la colonisation en Algérie.
Réédition du récit par l’Autrichienne Hertha Pauli du long chemin de l’exil quand les nazis ont envahi l’Europe.
Avec cette comédie de mœurs à huis clos au temps du confinement, l’auteur américain Gary Shteyngart dissèque les travers de son époque.
Dans sa chronique hebdomadaire, Jean-Claude Raspiengeas s’indigne contre le langage toujours plus générique et vague employé par les technocrates.
En 1900, l’arrière-grand-père a conduit de force son fils aîné, Marcel, sur un paquebot en partance vers l’Australie, en lui faisant promettre de ne plus jamais revenir. Un siècle plus tard, l’auteur déterre son secret de famille.
La chronique de Jean-Claude Raspiengeas sur la pièce de théâtre Les galets au Tilleul sont plus petits qu’au Havre (ce qui rend la baignade bien plus agréable), au Théâtre de l’Atelier à Paris jusqu’au 10 mars.
Sur fond de congrès de Vienne et d’intrigues amoureuses, l’académicien imagine l’exil de Napoléon sur l’île d’Elbe.
Dans sa chronique « Entracte », Jean-Claude Raspiengeas revient sur le « destin romanesque » de Félix Mayol, un des artistes les plus populaires du XXe siècle.
Dans sa chronique « Entracte », Jean-Claude Raspiengeas nous parle des Consolantes, nouveau spectacle de Pauline Susini sur les survivants des attentats du 13 novembre 2015.
Dans sa chronique « Entracte », Jean-Claude Raspiengeas revient sur le recueil Je me souviens… de la foulée de Pérec (et autres madeleines sportives), publié à l’occasion des JO de Paris 2024.
Dans sa chronique, Jean-Claude Raspiengeas raconte sa visite de l’exposition « Objectif mer : l’océan filmé » au Musée de la Marine. En vedette : Vingt mille lieues sous les mers, Titanic, films de pirates et de batailles navales !
Sociétaire et pilier de la Comédie-Française, metteur en scène de théâtre et d’opéra, valeur sûre au cinéma, écrivain, cet acteur aux multiples talents est un Arlequin qui jamais ne s’arrête. Il est à l’affiche de « Making Of, le monde merveilleux du cinéma » en salles le 10 janvier et va mettre en scène, à la Comédie-Française, « Lucrèce Borgia » à partir du 17 janvier puis « Les Fourberies de Scapin » en février.
Dans son film diffusé ce jeudi à 21 h 10 sur France 3, Éric Besnard conte la naissance du premier restaurant, à la veille de la Révolution, sur fond de conflit de classe. Sensuel et romanesque, ce film magnifique est un éloge de la cuisine, cet art subtil de la transformation.
Après L’Archipel français. Naissance d’une nation multiple et divisée, puis La France sous nos yeux, Jérôme Fourquet vient de publier La France d’après. Tableau politique, traduction électorale de ses analyses précédentes. Pour La Croix L’Hebdo, il revient sur différents éléments de la dislocation de la France et tente d’esquisser de fragiles éléments de recomposition.
Dans sa chronique « Entracte », Jean-Claude Raspiengeas revient sur les Mémoires de Jacques Dutronc, « Et moi, et moi, et moi ».
Le « Journal de voyage » de Montaigne est réédité par Bouquins et Molla. « Entracte », la chronique de Jean-Claude Raspiengeas.
Entracte, la chronique de Jean-Claude Raspiengeas parue dans La Croix L’Hebdo du jeudi 7 décembre.
Entracte, la chronique de Jean-Claude Raspiengeas parue dans La Croix-L’Hebdo du jeudi 30 novembre.
Dans sa chronique « Entracte », Jean-Claude Raspiengeas part à la chasse aux anglicismes.
Le prix Interallié a été attribué, mercredi 22 novembre, à Gaspard Koenig pour son roman Humus, qui figurait aussi parmi les finalistes des prix Goncourt et Renaudot. L’auteur y décrit les trajectoires de deux amis et étudiants en agronomie qui, chacun à leur manière, entendent relever le défi écologique par l’élevage de vers de terre.
Dans son nouveau livre Mon petit frère, Jean-Louis Fournier évoque son cadet Yves-Marie, dont il est aussi différent que complémentaire. « Entracte », la chronique de Jean-Claude Raspiengeas.
Le grand timonier de la revue Positif, doyen du Masque et la Plume sur France Inter, est mort lundi 13 novembre à 85 ans. Grands reportages, entretiens, hommages, analyses et controverses : un recueil de ses écrits publié en 2019 révélait un éclaireur passionné, confident des plus grands metteurs en scène. [Nous republions cet article initialement mis en ligne en février 2019.]
Une partie de pétanque en Gironde a dégénéré, après l’agression d’un arbitre par un joueur. « Entracte », la chronique de Jean-Claude Raspiengeas.
Éric Fottorino revient avec Mon enfant, ma sœur, un livre stupéfiant et bouleversant sur un lourd secret de famille, révélé tardivement par sa mère.
Jean-Claude Raspiengeas rend hommage à Jean-Marc Roberts qui se présentait comme « le dernier éditeur à l’ancienne ».
Dans sa chronique, Jean-Claude Raspiengeas reconnaît le courage d’une autrice qui, pour son dernier livre, a décidé de regarder la mort en face en travaillant aux côtés d’une famille de croque-morts depuis cinq générations.
Jean-Claude Raspiengeas revient dans sa chronique « Entracte » sur une affaire qui a indigné le Québec et la presse locale.
Jean-Claude Raspiengeas revient avec enthousiasme dans sa chronique « Entracte » sur son voyage en Gaspésie, en plein cœur du Québec. Il y a découvert un havre de la francophonie revigorant.
Jean-Claude Raspiengeas a lu l’essai de l’écrivaine et bibliothérapeute Régine Detambel Lire pour relier. Il détaille à cette occasion les intérêts thérapeutiques de la lecture, encore plus si elle est faite à voix haute.
L’auteur des Champs d’honneur revient sur les péripéties qui le conduisirent à recevoir le prix Goncourt 1990.
Une comédie retrace au Théâtre de la Contrescarpe l’ascension de Jacques Chirac. Entracte, la chronique de Jean-Claude Raspiengeas.
Depuis trois ans, Elvire Cassan explore la question du sens au travail dans son podcast « Sur le métier ». Des confessions rares que conseille Jean-Claude Raspiengeas dans sa chronique « Entracte ».
Une exposition au Vesunna, à Périgueux, retrace les aventures de la célèbre autrice de polars Agatha Christie en Mésopotamie, où elle rencontra son deuxième mari, l’archéologue Max Mallowan. Entracte, la chronique de Jean-Claude Raspiengeas.
En Dordogne, l’une des plus anciennes terres de peuplement en France, nous avons interrogé des femmes et des hommes qui travaillent la terre et vivent de la nature. Tous font le même constat : une dégradation continue des éléments, conséquence de l’activité humaine.
C’est un fleuve et un département : la Dordogne, c’est un pays, fait d’histoires, de trésors et de secrets que Christian Signol met en scène dans ses romans. Au fil des pages coule une rivière…
À l’occasion des 120e anniversaire de la naissance de Georges Simenon (1903-1989), La Croix L’Hebdo se replonge dans l’œuvre de l’écrivain qui a traversé le XXe siècle. On se perd à dénombrer ses livres, tout comme leurs adaptations. Par ses atmosphères sombres et humides, son art du minimalisme et de la concision, à l’opposé de sa vie tissée d’excès en tous genres, cet inlassable graphomane s’est imposé comme l’entomologiste des âmes grises. Son œuvre demeure un miroir tendu à l’humanité où chacun de nous peut se reconnaître.
Dans sa chronique « Entracte », Jean-Claude Raspiengeas revient sur l’histoire de la présence animale à Paris, alors qu’une exposition au Pavillon de l’Arsenal est consacrée à la question.
Dans sa chronique « Entracte », Jean-Claude Raspiengeas revient sur le « mook », format périodique à mi-chemin entre magazine et livre. Une forme choisie par Olivier Frébourg, « écrivain de marine » et auteur de « Latitude Mer ».
La mort du jeune Nahel, tué mardi 27 juin par un policier à Nanterre, a provoqué des violences dans plusieurs villes de France dans la nuit de mercredi à jeudi. Depuis les émeutes de 2005, des œuvres ont exprimé le sentiment d’injustice et la révolte des cités.
Dans sa chronique, Jean-Claude Raspiengeas partage sa lecture du livre de Léon Mazzella « Petit éloge amoureux du Pays basque ».
Dans sa chronique « Entracte », Jean-Claude Raspiengeas revient sur une exposition du designer Philippe Starck, actuellement proposée au musée Carnavalet, à Paris.
Dans sa chronique « Entracte », Jean-Claude Raspiengeas rend hommage à Sophie de Sivry, éditrice et fondatrice de la maison L’Iconoclaste, décédée à l’âge de 64 ans le 31 mai dernier.
Dans sa chronique « Entracte », Jean-Claude Raspiengeas revient à l’occasion de la sortie d’Éloge de la plage, de Grégory Le Floch, sur le pouvoir d’attraction de la plage, qui laisse l’esprit libre de divaguer à sa fantaisie.
Dans sa chronique, Jean-Claude Raspiengeas évoque l’ancienne émission de Bernard Pivot, Apostrophes, à laquelle l’écrivain Noël Herpe a consacré un livre.
Dans sa chronique « Entracte », Jean-Claude Raspiengeas revient sur la tradition gastronomique de Paris, ville où l’art de la table est célébré avec faste.
Dans sa chronique « Entracte », Jean-Claude Raspiengeas salue le livre de Jean-Noël Rieffel Éloge des oiseaux de passage.
Enquêter avec opiniâtreté est une prise de risque au coin de la rue comme en démocratie : les journalistes Hélène Servel et Morgan Large en ont fait l’expérience. « Entracte », la chronique de Jean-Claude Raspiengeas.
Dans sa chronique, Jean-Claude Raspiengeas fait l’expérience insolite d’une projection de presse dont il est l’unique spectateur, profitant ainsi pleinement de toute l’intimité qui fait la beauté du film d’Alain Cavalier, L’amitié.
Dans sa chronique « Entracte », Jean-Claude Raspiengeas rend hommage à Mélody Mourey, autrice de trois pièces à succès, dont Big Mother jouée au Théâtre des Béliers Parisiens.
Vingt-cinq ans après La Moindre des choses, tourné à la clinique de La Borde, le cinéaste filme de nouveau l’univers de la psychiatrie dans Sur l’Adamant, qui sort le 19 avril. Il revient aussi sur l’affaire Être et avoir, qui avait assombri le succès phénoménal de ce beau film, et fait l’éloge du documentaire, un « cinéma de la rencontre ».
Dans sa chronique « Entracte », Jean-Claude Raspiengeas rend hommage à la pièce de théâtre de Léonore Confino « Le village des sourds ». Un conte « éclairant et bouleversant ».
Dans son essai, « Poste restante », Christian Authier dresse le bilan de la dérive accélérée du bien commun qu’est La Poste. « Entracte », la chronique de Jean-Claude Raspiengeas.
Dans les transports, peu de place est désormais laissé au silence et à la rêverie, déplore Jean-Claude Raspiengeas dans sa chronique Entracte.
Journaliste à l’Equipe, Jean-Philippe Leclaire a sorti un livre et un documentaire sur la tragédie du Heysel, ce stade où 39 supporters ont trouvé la mort lors du match Liverpool-Juventus le 29 mai 1985. « Entracte », la chronique de Jean-Claude Raspiengeas.
S’en prendre aux systèmes complexes des fleuves, c’est s’attaquer aux veines et au réseau sanguin de la planète bleue, en hypothéquer la survie. « Entracte », la chronique de Jean-Claude Raspiengeas.
« Christophe… définitivement », le film de Dominique Gonzalez-Foerster et Ange Leccia, a été tourné dans les coulisses des concerts du chanteur perfectionniste et populaire, décédé le 16 avril 2020. « Entracte », la chronique de Jean-Claude Raspiengeas.
La chronique de Jean-Claude Raspiengeas, à l’occasion de la parution d’« Ici et ailleurs », une compilation des meilleurs reportages de la journaliste Florence Aubenas parus dans Le Monde entre 2015 et 2022.
Tourné par le cinéaste Jean-Albert Lièvre, spécialiste et grand connaisseurs de baleines, le documentaire Les Gardiennes de la planète, sorti mercredi 22 février offre des images fascinantes sur les plus grands mammifères du globe. « Entracte », la chronique de Jean-Claude Raspiengeas.
Dans ses Mémoires, Paul Pavlowitch, qui incarna Émile Ajar, raconte l’extrême désespoir du romancier et la fragilité de l’actrice dont il fut l’un des proches.
L’animateur Cyril Hanouna et la chaîne C8 ont été condamnés par l’Arcom à une amende de 3,5 millions d’euros. Avec quels effets ? « Entracte », la chronique de Jean-Claude Raspiengeas.
Le film du cinéaste russe en exil Kirill Serebrennikov décrit la passion mortifère d’une femme pour le compositeur russe et s’impose comme une œuvre majeure.
Chaque semaine, La Croix L’Hebdo part à la rencontre des Français afin de prendre leur pouls, saisir leurs aspirations et entendre leurs idées pour améliorer le quotidien. Cette semaine, Régis Rojo, coiffeur à Pessac (Gironde), répond à nos questions. Les Français par eux-mêmes.
Dans un livre de témoignage, le docteur Bruno Fron raconte la réalité d’une médecine du lien qu’il pratique soixante-cinq heures par semaine. « Entracte », la chronique de Jean-Claude Raspiengeas.
Avec classe et aisance, André Dussollier occupe la scène des Bouffes Parisiens dans sa pièce « Sens dessus dessous ». « Entracte », la chronique de Jean-Claude Raspiengeas.
Le journaliste et passionné de théâtre Philippe Tesson, père de l’écrivain Sylvain Tesson, est décédé à l’âge de 94 ans. La Croix l’avait longuement rencontré en 2011.
Philippe Claudel signe une fable cruelle et sombre, d’une noirceur implacable sur la déchéance de l’humanité.
Difficile de réussir une chronique radio humoristique. Sauf pour François Morel sur France Inter, également auteur des Grâces matinales parues aux éditions Bouquins. « Entracte », la chronique de Jean-Claude Raspiengeas.
L’adaptation par Guillaume Nicloux du livre anticlérical écrit par Diderot en 1760 révèle Pauline Étienne, qui incarne Suzanne Simonin.
La 5° édition du Fipadoc, qui se déroule du 20 au au 28 janvier, projette 200 documentaires, accueille 2 000 professionnels et attend 30 000 spectateurs.
Après la mort de sa mère et de son frère handicapé, Jérôme Garcin, journaliste culturel et producteur de l’émission Le masque et la plume, sur France Inter, livre un récit déchirant, précis de courage et traité de spiritualité.
Benoît Lasserre, éditorialiste et grand reporter à Sud-Ouest, a consacré un livre-hommage à sa fille Mathilde, morte le vendredi 22 juillet 2022 à 31 ans d’un cancer « rarissime et gravissime ». « Entracte », la chronique de Jean-Claude Raspiengeas.
Avec le deuxième volet de sa tétralogie sur les Trente Glorieuses, Pierre Lemaitre poursuit la saga de la famille Pelletier pendant l’hiver 1952.
Christophe Donner décrit les méthodes nauséabondes de l’extrême droite entre les deux guerres, et les fâcheries à répétition entre Pétain et de Gaulle. Un roman de haute volée.
Adaptation du très beau roman autobiographique de Catherine Poulain, ce film, tourné en scope, suit la détermination d’une femme à s’embarquer sur un chalutier.
Pierre Lemaitre est de retour avec Le Silence et la Colère, suite de sa fresque comico-tragique sur les Trente Glorieuses. Le nouveau maître des mystères revient pour La Croix L’Hebdo sur son « destin extravagant » de romancier tardif. Son immense succès ne le préserve ni des doutes, ni des angoisses. Pas même le prix Goncourt, obtenu voici bientôt dix ans.
Jean-Claude Raspiengeas consacre cette semaine sa chronique « Entracte » au roman Mécano écrit par le conducteur de train Mattia Filice, dans lequel il révèle les coulisses de son métier.
Daniel Pennac met le point final à la saga des Malaussène, quarante ans après sa création. C’est dans un petit restaurant italien de Belleville, bien connu de ses lecteurs, qu’il nous a accordé cet entretien.
Dans sa chronique « Entracte », Jean-Claude Raspiengeas revient sur la symbolique des décorations associées aux périodes de fêtes.
Prix du jury au Festival de Cannes, voyage existentiel et géographique, récit d’initiation et film d’amitié, cette belle adaptation du livre de Paolo Cognetti est une réussite d’élégance et de sobriété.
Les réalisateurs du film Les Huit Montagnes, Charlotte Vandermeersch et Felix Van Groeningen, racontent la genèse de leur adaptation – prix du jury au Festival de Cannes – du roman de Paolo Cognetti.
Marc Dugain inaugure une nouvelle collection de livres d’espionnage qu’il dirige chez Gallimard, sur fond de rivalités géopolitiques et d’hyper-surveillance numérique.
Au long d’un roman haletant, Alexis Jenni brosse le portrait de cet impressionnant découvreur, homme insaisissable et tourmenté.
Des coffrets DVD de classiques du cinéma enrichis de riches bonus, des livres qui reviennent sur les succès - films, films d’animation et séries - de ces dernières années : les journaliste de « La Croix » ont fait leur sélection de cadeaux en lien avec le petit et le grand écran.
Dans sa chronique « Entracte », Jean-Claude Raspiengeas revient sur la nouvelle façade du cinéma parisien du Grand Rex, dévoilée à l’occasion des 90 ans du mythique édifice.
Ce roman posthume du maître du roman d’espionnage parachève une longue bibliographie, mais souffre de trop de défauts pour être rangé parmi ses grands livres.
Lucas, 17 ans, adolescent provincial tourmenté, vient de perdre son père. Son frère aîné le recueille à Paris, ville de toutes les révélations. Ce film autobiographique de Christophe Honoré explore l’épreuve que provoque une disparition et les nuances du deuil.
Chaque semaine, L’Hebdo lève le rideau pour vous faire découvrir les secrets d’un artiste, les coulisses d’un spectacle ou d’un métier. Dans le numéro du 25 novembre, entrons dans la fabrique de la sixième et ultime édition du Dictionnaire historique de la langue française, somme encyclopédique et grand œuvre du linguiste Alain Rey, publié par Le Robert.
Dans sa chronique « Entracte », Jean-Claude Raspiengeas nous parle cette semaine du livre de Philippe Vilain sur la star du football Diego Maradona.
« Barbara », film de Mathieu Amalric sorti en 2017, est à voir à 22 h 45 sur Arte.
Prix Giono et Renaudot des lycéens 2022, ce conte inquiétant est d’abord un style, celui, magnifique et hanté, de Sandrine Collette, avant d’être l’histoire d’une fuite sans but d’un père et son fils.
Dans sa nouvelle chronique « Entracte », parue dans La Croix L’Hebdo du vendredi 18 novembre, Jean-Claude Raspiengeas revient sur les propos tenus par l’animateur Cyril Hanouna envers un député LFI, dans son émission « Touche pas à mon poste ! » sur C8.
Un film pudique, oppressant et doux, simple et lumineux, sur une jeune femme condamnée par sa maladie, marqué par le dernier rôle de Gaspard Ulliel.
Avec « Le voyage en train », le musée d’arts de Nantes propose jusqu’au 5 février 2023 une exposition sur l’avènement du chemin de fer au XIXe siècle et son impact sur l’imaginaire des artistes.
À un mois de la Convention citoyenne sur la fin de vie, La Croix met en lumière sept œuvres, films ou livres, qui offrent un regard sur la question à la fois intime et universelle de la fin de vie.
Ce deuxième volet de la trilogie des manuscrits exhumés méritait-il d’être publié, tant la logorrhée misogyne de leur auteur est nauséabonde ? En parallèle de la publication de ce nouveau tome, le journaliste Jean-Pierre Thibaudat raconte sa version de la découverte de ces textes.
Couronné de trois Goyas, dont celui de la meilleure interprète féminine attribué à Blanca Portillo, ce film bouleversant décrit la volonté de dialogue de certains terroristes de l’ETA avec les proches des victimes. Et comment cette initiative a préparé le chemin d’une paix jusque-là introuvable.
Présentée en ouverture du dernier Festival de Cannes, cette œuvre autobiographique sur l’enfance de James Gray est repartie bredouille de la compétition.
Carole Fives signe un habile roman à clef et un thriller passionnant sur un plagiat littéraire et l’art de la manipulation, sur fond d’identification névrotique.
Un cinéaste suit les dernières semaines d’un bon docteur en milieu rural, qui cherche en vain un successeur.
Le cinéaste américain, récipiendaire du 14e prix Lumière, a été accueilli triomphalement par le public pour recevoir sa distinction.
Quarante ans après le suicide du comédien Patrick Dewaere, sa fille Lola, âgée de 2 ans à l’époque du drame, brosse un portrait tendre et poignant de son père. À découvrir, vendredi 21 octobre, à 21 heures, sur France 5.
Prix du jury au dernier Festival de Cannes, ce film signe le retour au cinéma de Jerzy Skolimowski avec un poème visuel et une méditation sur l’humanité.
Pour son retour au cinéma après sept ans d’absence sur grand écran, le cinéaste polonais récompensé au Festival de Cannes, est l’un des invités d’honneur du Festival Lumière, à Lyon, cette semaine.
Frederick Wiseman met en scène dans un jardin, un jour d’été, Sophia Tolstoï. Aimante et malheureuse, elle passe en revue les étapes de son naufrage conjugal.
Ce festival de musique sacrée, dirigé par René Martin, s’est achevé dimanche 16 octobre, après trois semaines de pérégrination entre Bretagne et Normandie.
Pauline Dreyfus trousse un habile roman en douze personnages autour du mutisme persistant de Valéry Giscard d’Estaing, englué dans l’affaire des diamants de Bokassa.
L’œuvre d’Annie Ernaux, récompensée du prix Nobel de littérature le 6 octobre, mêle récit intime et analyse sociologique dans une écriture épurée à l’extrême, qui touche à l’universel. À travers six ouvrages, La Croix L’Hebdo propose de (re) partir à la rencontre de l’inventrice de l’« autobiographie impersonnelle ».
Les réalisateurs Jean-Pierre et Luc Dardenne ont dédié leur dernier film Tori et Lokita, en salles le 5 octobre, à Stéphane Ravacley, le boulanger de Besançon qui a fait une grève de la faim l’année dernière pour empêcher l’expulsion de son apprenti guinéen. La Croix L’Hebdo les a rassemblés autour du sujet qui les réunit : les mineurs isolés.
Vingt-trois villes européennes ont signé à Lille (Nord), le samedi 1er octobre, le manifeste « pour une culture moins carbonée et plus inclusive ».
L’inspirateur des grands spectacles du Cirque du Soleil et des shows de Céline Dion à Las Vegas est mort, vendredi 30 septembre, d’une crise cardiaque au Caire, en Égypte.
Dans ce récit autobiographique, Maria Larrea mène une enquête vertigineuse pour percer le labyrinthe de sa naissance et met au jour un trafic d’enfants volés sous le franquisme.
Palme d’or 2022, cette tragi-comédie sociale décrit le monde des riches confronté aux inégalités sociales. Le cinéaste suédois connu pour ses scénarios abrasifs et corrosifs poursuit son fastueux travail de sape, à partir de l’observation de ses contemporains.
Pour le directeur du Festival de Saint-Sébastien (Espagne), José Luis Rebordinos, le retour des spectateurs dans les cinémas n’est plus qu’une affaire de mois.
Avec ce premier roman percutant à l’intérieur du monde du travail, vu de la classe ouvrière, à 24 ans, Claire Baglin s’affirme comme une voix nouvelle.
Après deux années d’un festival aux dimensions réduites, cette 70e édition est marquée par le retour massif du public.
Deux livres - un roman et des Mémoires - retracent l’épopée de la famille Nora, de Gaston, le patriarche, de Simon, le résistant, et de Pierre, l’éditeur-historien.
Vingt ans après l’accident de moto qui a tué son mari, Brigitte Giraud, obsédée par l’imperceptible enchaînement des causes, recompose le puzzle intime de ce drame. Elle remporte le 3 novembre 2022 le prix Goncourt pour ce roman.
Dans un essai acide et décapant, Iegor Gran décortique la folie du peuple russe qui, par haine de l’Occident, gobe et adhère à la propagande poutinienne.
Mathieu Belezi publie un texte acide et fulgurant sur ce passé qui hante son œuvre, les débuts de la colonisation.
Ce documentaire de Pierre-Henri Gibert, diffusé lundi 12 septembre, explore le parcours flamboyant d’Alain Resnais, l’un des pères de la modernité dans le cinéma européen.
À l’occasion du décès du cinéaste Alain Tanner, le 11 septembre, à l’âge de 92 ans, nous republions ici la recension de son abécédaire Ciné-mélanges qui résumait son éthique après son retrait du cinéma en 2003.
Bernard Chambaz ressuscite la langue et l’univers du XIXe siècle pour raconter l’amitié qui lia le peintre Auguste Renoir et le journaliste Raoul Rigault sous Napoléon III, puis la Commune.
Dans ce film de politique-fiction, terrifiant et d’une grande beauté formelle, le Japon a voté un plan pour pousser les seniors vers le choix d’une mort volontaire. Caméra d’or au dernier Festival de Cannes.
Cette comédie historique réhabilite la figure, figée pour l’éternité, du président tombé d’un train en mai 1920.
Un voyage en Sicile, destiné à raccommoder un couple déchiré, tourne au cauchemar, sur fond de lâcheté, de cynisme et d’indifférence. Un petit régal.
En cet été 2022 où les Français redécouvrent massivement les vertus du chemin de fer, retour pendant six semaines sur la grande période des « rapides mythiques » de la SNCF. Aujourd’hui, les Trans Europ Express. Symbole flamboyant des Trente Glorieuses, ces rapides sillonnèrent l’Europe, de 1957 à 1987, pour rapprocher les grandes villes du continent.
À l’occasion de la sortie, mercredi 24 août, du nouveau film de Jean Becker, Les Volets verts, adapté du roman de Simenon, où elle partage l’affiche avec son vieux complice Gérard Depardieu, Fanny Ardant raconte, pour La Croix L’Hebdo, ses intimes convictions et son étrange parcours.
En cet été 2022 où les Français redécouvrent massivement les vertus du chemin de fer, retour pendant six semaines sur la grande période des « rapides mythiques » de la SNCF. Parmi ces trains qui ont tant fait rêver, les trois fascinants fleurons de la SNCF - Le Drapeau, l’Étendard, l’Aquitaine - qui filaient à vive allure vers le sud-ouest auront une durée de vie trop courte. En voiture ! Trains de légende (5/6).
Le mythique train de nuit est revenu à Lourdes, mais ce sont les convois de pèlerins qui ont structuré cette ville moyenne. Trains de légende (4/6).
Face à l’hostilité des éditeurs, des libraires et de la suspicion de Bruxelles devant la constitution d’un conglomérat dominant, le géant des médias veut se délester d’une partie de son empire.
En cet été 2022 où les Français redécouvrent massivement les vertus du chemin de fer, retour pendant six semaines sur la grande période des « rapides mythiques » de la SNCF. Cette semaine, place au Capitole. Pendant trente ans, élégant et confortable, « le train le plus rapide de France » avalait les 713 km, de Paris à Toulouse, en six heures, avec des pointes à 200 km/h. Trains de légende (3/6).
Promesse de campagne du candidat Emmanuel Macron, la réforme a été avalisée samedi 23 juillet par l’Assemblée nationale, avant d’être bientôt examinée par le Sénat. Présentée par la ministre de la culture comme « une mesure de pouvoir d’achat », cette suppression est potentiellement lourde de conséquences pour l’audiovisuel public.
En cet été 2022 où les Français redécouvrent massivement les vertus du chemin de fer, retour pendant six semaines sur la grande période des « rapides mythiques » de la SNCF. Cette semaine, place au Mistral. Climatisation, bar-drugstore, boutique, secrétariat, téléphone et même salon de coiffure. Le « rapide » le plus tendance des Trente Glorieuses était révolutionnaire. Trains de légende (2/6).
En cet été 2022 où les Français redécouvrent massivement les vertus du chemin de fer, retour pendant six semaines sur la grande période des « rapides mythiques » de la SNCF. Lancé en 1889, repensé en 1922, de Calais à la Méditerranée, le Train bleu fut le train de nuit de luxe, le convoi des happy few fortunés, un palace sur rail pour les têtes couronnées, l’aristocratie, les artistes et les flambeurs. Trains de légende (1/6).
Le 49e film de Woody Allen, tourné pendant le festival de cinéma de cette ville du Pays basque espagnol, d’abord pétillant, s’enlise peu à peu.
Sommé de quitter définitivement son appartement, Olivier Rolin fait, avec cet inventaire imposé, le bilan de sa vie.
Ce recueil de chroniques parues dans Le Matricule des anges, de 1996 à 2012, rappelle la douceur du regard de ce romancier et ravive ses fulgurances poétiques.
Un roman poétique et fiévreux sur les traces non de l’acteur mais du grand écrivain et dramaturge américain.
Le grand cinéaste sud-coréen revient sur les écrans six ans après Mademoiselle avec un polar romantique, délice de raffinement et d’intelligence. Présenté à Cannes en compétition, le film a été récompensé d’un prix de la mise en scène amplement justifié
Auréolée de six Goyas (les Césars espagnols), cette désopilante comédie, satire du paternalisme patronal, offre à Javier Bardem l’un de ses meilleurs rôles.
Le grand acteur s’est éteint à 91 ans, vendredi 17 juin. Homme aux 180 rôles, il laisse le souvenir d’une voix grave et envoûtante, d’une séduction feutrée et d’un jeu tout en finesse.
En réalisatrice déjantée, Penélope Cruz fait subir les pires avanies à ses deux acteurs, Antonio Banderas et Oscar Martinez, en proie aux affres de la création. Une comédie époustouflante par son humour irrésistible, l’élégance de sa mise en scène et l’originalité du traitement.
75e Festival de Cannes - Dernier film français en compétition, le drame social de Léonor Serraille n’a pas suffi à relever le niveau très moyen de la sélection hexagonale.
Représentante du cinéma français en compétition, la réalisatrice a présenté au Festival de Cannes 2022 un film inconsistant et consternant de vacuité.
Ils ont tous deux été sélectionnés dans la catégorie « Un certain regard » au Festival de Cannes 2022 : un film pakistanais sur l’ambiguïté sexuelle et les affinités sexuelles et une comédie suédoise sur le narcissisme contemporain.
Avec le montage de ses films de famille par son fils, Annie Ernaux commente de sa voix frêle les étapes de sa vie conjugale, au fil des voyages en 504, en France et en Europe, faisant défiler les années 1970. Son film est présenté à La Quinzaine des réalisateurs du Festival de Cannes 2022.
Le film autobiographique de Valeria Bruni Tedeschi souffre de ses excès et de sa complaisance pour évoquer l’école de théâtre des Amandiers en 1985-1986.
La 75e édition du Festival de Cannes rend hommage aux acteurs Gérard Philipe, Patrick Dewaere et Gaspard Ulliel, tous trois morts à une trentaine d’années.
75e festival de Cannes. En dépit du début tonitruant et décapant de sa comédie, Ruben Ostlund s’enlise, avec une fin de film interminable.
75e Festival de Cannes. Deux films d’« Un certain regard » ont frappé les esprits. Une fable réaliste sur l’euthanasie imposée au Japon et le dernier film de Gaspard Ulliel.
À 84 ans, Jerzy Skolimowski revient en compétition avec un poème visuel autour d’un âne malmené, observateur de la condition humaine.
Bilan du deuxième jour au Festival de Cannes, avec la projection de « Les Huit Montagnes », de Charlotte Vandermeersch et Felix Van Groeningen, d’« Armageddon Time », de James Gray, et de « Tirailleurs », de Mathieu Vadepied. Le premier est une réussite inattendue, les deux autres des déceptions, elles aussi inattendues.
Ajouté à la dernière minute par les organisateurs du Festival de Cannes 2022, Mariupolis 2 a été projeté jeudi 19 mai lors d’une séance spéciale. Il s’agit du dernier film du Lituanien Mantas Kvedaravicius, tué fin mars en Ukraine en tentant de quitter la ville-martyre assiégée par les Russes d’où il documentait la guerre.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky est intervenu depuis Kiev dans un message vidéo, lors de l’ouverture, mardi soir 17 mai, du Festival de Cannes 2022.
Clap de fin pour le président du Festival de Cannes. Après la 75e édition, Pierre Lescure abandonnera le poste qu’il occupait depuis huit ans. Cet « enfant du rock » et des Trente Glorieuses porte un regard désenchanté sur l’époque, sans rien perdre de son enthousiasme.
La ville de Boulogne-Billancourt rend hommage, avec « Jean Gabin, l’exposition » et des photos en plein air, à l’acteur qui a tant tourné dans cette ville. Le parcours au Musée des années 1930 mêle sa vie personnelle et professionnelle à l’Histoire de France, dont il incarne, à l’écran, les mutations.
Ce très long métrage, aux accents contemporains, décortique le meurtre d’un jeune homme, au temps de Jaruzelski, qui conduira à l’assassinat du père Popieluszko.
Prix spécial du jury à la Mostra de Venise en 2021, ce film contemplatif explore l’un des gouffres les plus profonds au monde, à proximité de bergers de la montagne calabraise.
La biographie de Benoît Heimermann fait revivre l’exploit du Spirit of St Louis et explore les ambiguïtés d’un héros trop longtemps déconsidéré.
Dominique de Saint-Pern publie le second volet de sa biographie de la femme de lettres Edmonde Charles-Roux. Un livre chatoyant, délice de style, sur cette séductrice mondaine et influente.
Alexis Michalik, l’homme pressé suit, pas à pas, l’élaboration, de l’intérieur, d’une pièce ambitieuse aux côtés du jeune prodige de la scène. Un documentaire à voir à 22 h 40 sur France 5.
Thomas Lacoste recueille la parole de militants basques et de victimes pour raconter de l’intérieur le difficile processus de paix, dans un contexte de violence et de répression.
Vie et mort de Paul Renoir, « le meilleur chef du monde », qui allait perdre deux étoiles. Un polar social et dramatique sur l’envers du décor des grandes cuisines françaises.
Pour ses 10 ans, le Musée de la Grande Guerre s’attache à décrire la vie sous terre des poilus et ses conséquences sur la conduite des opérations. Cette grande exposition, unique en son genre, dissipe un certain nombre d’idées reçues et offre une vision nouvelle du « système-tranchées ».
En thérapie (saison 2), d’Olivier Nakache et Éric Toledano. Retour, à partir du 7 avril sur Arte, de la série addictive dans le cabinet du psychanalyste Philippe Dayan, découverte en 2021. Nouveaux acteurs, nouveaux réalisateurs et nouveau thème en toile de fond, le Covid.
Oscar du meilleur réalisateur pour The Power of the Dog, la cinéaste néo-zélandaise est la troisième femme récompensée par ce titre. L’album de référence, que lui avait consacré le critique Michel Ciment, ressort dans une version augmentée et enrichie.
Le dernier été de sa vie, Jim Harrison s’est longuement confié devant les caméras de François Busnel et Adrien Soland, au cœur de son refuge cosmique, immergé dans la nature.
Le coréalisateur de Seule la terre est éternelle revient sur le tournage de son documentaire consacré à l’auteur américain, qui était aussi son ami, dans son repaire de Paradise Valley, au cœur du Montana en 2015, quelques mois avant sa mort.
« Le livre le plus lu au monde après la Bible » fait l’objet d’une très belle exposition à Paris qui montre les différents états du manuscrit, les nombreuses aquarelles et dessins préparatoires pour aboutir à ce personnage mythique, replacé au cœur de la vie de Saint-Exupéry.