Chronique

Cinq livres d’amour pour l’été

Article réservé à nos abonnés.
Jean de Saint-Cheron dans la cour de l'Institut Catholique de Paris, le 15 décembre 2022.
Jean de Saint-Cheron dans la cour de l'Institut Catholique de Paris, le 15 décembre 2022. Aleister Denni
Qu’est-ce que l’amour ? Pour trouver la réponse, Jean de Saint-Cheron propose dans sa chronique d’explorer le thème amoureux en relisant quelques grandes œuvres littéraires, de « Don Quichotte » au « Grand Meaulnes ».

« Ils furent considérés dans tout le pays, vécurent heureux, et eurent beaucoup d’enfants. Voilà comment finissent tous les romans d’amour », affirme Vautrin dans Le Père Goriot, qui n’en est pas un (ou alors d’un genre très particulier puisqu’il n’y a guère d’amour dans les couples, mais l’amour immense et désintéressé d’un père pour ses filles ingrates). Toujours est-il que ce fourbe de Vautrin, dont les amours interdites finiront mal dans Splendeur et misère des courtisanes, dit faux. La preuve avec cinq romans d’amour qui se terminent bien différemment, et qui sont autant de lectures recommandées pour cet été, pour ceux qui ne les auraient jamais lus.

Cet article est réservé aux abonnés
Vous souhaitez lire la suite ? Abonnez-vous sans engagement à notre offre numérique
Déjà abonné ?