Les plantes des prairies d’Amérique du Nord sont une mine de trésors pour nos jardins : Baptisia australis en est encore un bel exemple.

Plante d'intérieur et plante d'extérieur, plante en pot ou non, arrosage, choix des plantes pour la terrasse ou le jardin...
En savoir plusLes plantes des prairies d’Amérique du Nord sont une mine de trésors pour nos jardins : Baptisia australis en est encore un bel exemple.
Grands arbustes ou petits arbres, les drimys ont tout pour se plaire, et vous plaire, dans les jardins où la température ne descend jamais en dessous de -10°. Feuillage persistant, silhouette gracieuse et charmante floraison font partie de leurs attraits, ainsi que leur résistance aux embruns, à la pollution et à la sécheresse. Pas de taille à prévoir, leur port naturel étant très élégant. Il suffit de couper les branches gênantes pour le passage.
Akebia quinata conquiert nos jardins depuis quelques décennies. On adopte cette grimpante volubile, presque une liane, pour ses mignonnes fleurs étranges.
Le jardin mythique Serre de la Madone, à Menton, vient d’être désigné Site emblématique régional du Loto du Patrimoine 2025, porté par la Mission Bern et la Fondation du Patrimoine. Tout le « monde du jardin » se félicite de cette sélection qui place l’art du jardin au même rang que le patrimoine bâti.
Kalimeris. Pourquoi cette plante est-elle si méconnue ? Elle ressemble à un aster et fleurit tout l’été, toujours droite et robuste, sous le soleil brûlant, les bourrasques ou la pluie. Une valeur sûre, pour tous les jardins !
En ce printemps, l’activité jardinière est à son apogée et consiste en particulier à tailler. A tailler les vivaces, les rosiers, les hydrangeas et les arbustes en fin de floraison. Si la technique est parfois nécessaire, il faut surtout se servir de ses sens, où le feeling et la logique font bon ménage.
Jasmins, faux jasmins… Cela devient de plus en plus difficile de parler jasmin. Impossible de s’y retrouver lorsqu’un conseil de culture est demandé, sans compter les confusions lors d’une commande chez un pépiniériste. Si l’on faisait un grand ménage, une mise au point tout simplement ?
Les lapins adorent la petite pimprenelle, et nous aussi ! Cette jolie sauvageonne comestible, habitant prés secs et pâturages, a tout pour rejoindre nos jardins.
Une floraison insolite, en grappes pendantes composées de fleurs délicatement parfumées où se mêlent le rose, le rouge et le pourpre en élégant camaïeu, et le ravissant feuillage ailé, font de l’apios un véritable trésor.
En ce mois de février, nous rêvons à ces rosiers qui nous accompagnent tout au long de l’année, et pas seulement avec leurs fleurs, mais aussi avec leur allure et leur feuillage… À condition de bien les choisir ! Nous avons encore un bon mois pour les planter à racines nues.
Colza ! Si ce mot évoque la beauté des champs d’or qui égaient nos campagnes et son utilité pour les agriculteurs et les industriels, penchons-nous sur son intérêt au jardin !
Les journées rallongent, les amoureux des plantes le savent, sentant les prémices du réveil de la nature. Il suffit de regarder les sauvageonnes qui jalonnent nos jardins et les bords de chemin pour avoir le cœur battant.
L’hermodactylus est devenu iris… Les botanistes ont décidé il y a peu que Hermodactylus tuberosus devenait Iris tuberosa. Ça n’enlève rien à sa joliesse, sauf, peut-être, un peu de mystère ?
Après cette fin d’année presque trop douce dans de nombreuses régions, nous avons souvent négligé de protéger nos potées. Mais le froid arrive. Profitons de ce week-end pour effectuer quelques gestes essentiels.
Dorine : ce joli surnom est attribué à un genre de vivaces que l’on rencontre parfois dans la nature et pas assez souvent dans les jardins. Pourtant, quelques pépiniéristes passionnés proposent des Chrysosplenium, superbes couvre-sol persistants. Plein feu sur Chrysosplenium oppositifolium et Chrysosplenium macrophyllum.
En ce moment, c’est un grand arbuste originaire du Chili qui fait le show au jardin. Son tronc accroche le regard car son écorce s’exfolie, laissant apparaître le bois luisant, où tous les tons mordorés s’affichent en camaïeu gourmand, allant de vanille à café en passant par l’abricot et le caramel.
Si vous aimez les plantes étonnantes et charmantes, le chimonanthe a tout pour vous plaire, avec ses fleurs de cire jaune lune ponctuées de pourpre qui courent sur les rameaux nus, en plein hiver.
Les rares insectes pollinisateurs qui cherchent pitance en cette fin novembre sont à la fête : Ampélaster carolinianus commence sa floraison ! Les petites fleurs mauves de cette liane originaire des régions marécageuses du sud-est des États-Unis fleurissent en continu jusqu’à mars.
Neige, pluie, vent, froid, douceur… On ne sait plus à quels végétaux se vouer ! C’est le moment de cocooner en compagnie des plantes d’intérieur.
Qu’elle est jolie, en ce moment, avec ses feuilles dodues et son port tapissant, la tétragone. Elle s’étale avec bonheur, habillant le potager d’un vert éclatant, étant encore plus craquante lorsque la pluie se transforme en une multitude de perles glissant joliment sur le feuillage.
Avec cette plante, c’est tout ou rien ! Kirengeshoma palmata végète lamentablement ou affirme une grâce incomparable dès la fin de l’été. Cela vaut le coup de la chouchouter !
Depuis plus de deux cents ans, la société royale d’horticulture (RHS) britannique réunit les passionnés du jardinage, un enjeu aussi pour la planète.
Acacia de Constantinople et Arbre à soie, les petits noms de l’albizzia julibrissin, racontent son histoire et sa délicatesse.
La première étude mondiale sur les plantes en zones arides, publiée jeudi 8 août, montre que leurs stratégies d’adaptation se diversifient dans des conditions extrêmes. Mieux connaître ces plantes permet aussi de mieux prédire la façon dont les écosystèmes réagiront au réchauffement climatique.
Les premières fleurs, étoiles blanches à cinq sépales avec une corolle tubulaire et cinq étamines, apparaissent mi-août, groupées en panicules.
Le mot aneth évoque de délicieux plats à base de poissons. Si l’on sème cette annuelle à partir de mai, et chaque mois pour avoir toujours des feuilles tendres à récolter, un tout dernier semis peut encore s’effectuer cette semaine, pour une cueillette à prévoir fin septembre.
Plantés maintenant, les bulbes de Sternbergia lutea vont, début septembre, arborer, en touffe de 15 à 20 cm en tous sens, un feuillage rubané, vert sombre. Ces feuilles seront agrémentées, quelques semaines plus tard, de grandes corolles lumineuses, jaune citron, qui perdurent jusqu’à fin octobre.
Si vous aimez composer des bouquets, voici une plante à adopter sans tarder. Les élégantes fleurs ressemblent à des petits lis sauvages, ou encore à de légères orchidées…
Pour sublimer, avec un soupçon d’étrangeté, les fleurs jaunes ou rose pâle, voici 3 plantes qui flirtent avec le noir.
Délicieuse, étrange et ornementale, cette plante, même si elle supporte la sécheresse, a besoin de fraîcheur pour rester tendre. Et cette année, bien servie en pluie, elle est magnifique et orne nos potagers avec panache.
Les scientifiques estiment que 15 à 20 % des espèces végétales de la planète sont menacées d’extinction. Mais alors que la disparition des ours bruns, des lynx ou des pandas, mobilise les opinions, celle de la flore suscite peu d’émoi auprès du grand public.
Prélever des fleurs au gré de ses envies, pour bouqueter sans dégarnir les massifs d’ornement, n’est-ce pas le rêve de tous les amoureux de compositions florales ?
Adopter le compostage en surface, bénéfique autant pour les plantes que pour la petite faune du sol, est une évidence lorsque l’on jardine avec la nature.
En quelques décennies, la culture en pot est devenue une facette incontournable du jardinage. Vivre entouré de fleurs, de senteurs et de verdure n’est pas réservé aux heureux possesseurs de jardin.
Pour nourrir votre imaginaire, adoptez des plantes venues d’ailleurs, en sachant qu’exotisme ne rime pas toujours avec frilosité. Les Journées des jardins d’agrément organisées à Doullens, dans la Somme samedi 25 et dimanche 26 mai, sont consacrées à ces plantes exotiques.
La famille des Hydrangéacées recèle des trésors, dont des vivaces encore peu connues chez nous, mais que des pépiniéristes passionnés dénichent et nous proposent, comme les cardiandras.
S’il y a une plante facile à vivre, c’est bien le cosmos ! Il s’épanouit tout l’été, avec grâce et générosité. Élégant, il danse à la moindre brise, les larges fleurs légères comme des papillons se renouvelant en permanence sur un fin feuillage.
Spectaculaire, le géranium de Madère déploie une ombelle d’une myriade de fleurs mellifères, rose mauve à cœur violine. Cette plante originaire de l’archipel portugais volcanique se stabilise sur une tige solide, au milieu d’un feuillage élégamment palmé.
En ce mois d’avril, l’aventure est au fond du jardin. C’est à quatre pattes, au ras du sol, que nous allons explorer massifs, pelouse et coins sauvages à la recherche de semis spontanés.
Couvre-sol, vivaces ou arbustifs, les innombrables sédums ont un point commun : se moquant de la sécheresse, ce sont des plantes d’avenir. Ce genre est le plus grand de la famille des Crassulacées, avec plus de 400 espèces réparties sur tous les continents, sans compter la myriade de variétés. Voici un mini-florilège, présentant deux sauvages « de chez nous », deux classiques de nos jardins, et deux presque méconnus à adopter sans tarder.
Mellifère et médicinal, le pissenlit, indigène dans toutes les parties tempérées de la terre, est la plante la plus glanée en campagne. C’est pratiquement la seule sauvageonne que l’on récolte encore pour se nourrir. Consommé depuis l’Antiquité, il a fallu attendre le XIXe siècle pour voir des variétés améliorées faire leur entrée au potager.
Elles piaffent d’impatience, les plantes d’appartement, après un hiver qui a pu leur sembler bien long. Les jours s’étirant et leur donnant des ailes, elles rêvent de nous présenter leurs jeunes pousses. Mais certaines sont bien à l’étroit, dans leur contenant, et cela les brime.
Les fragrances suaves de l’hamamélis se répandent au jardin de décembre à mars. Les fleurs échevelées, jaunes, orange, rouille ou pourpre, suivant les variétés, jalonnent le bois nu et succèdent au somptueux feuillage d’automne.
À part une ou deux mini-gelées en novembre, la douceur de ces dernières semaines a permis aux rosiers de continuer à fleurir, aux camélias de s’épanouir, et aux oiseaux de pouvoir se nourrir. Mais ce week-end des 6 et 7 janvier marque une vraie transition, le froid s’installant dans de nombreuses régions.
La Croix L’Hebdo vous présente des initiatives et des outils, accessibles à tous, pour mieux regarder et surtout préserver la nature.
Traditionnellement, le houx fait partie des décorations de fêtes de fin d’année, sur la table ou en couronne d’accueil.
Voyages, dépaysement… pour stimuler notre imaginaire, nous adoptons dans nos jardins, avec engouement, des plantes venues d’ailleurs, car exotisme ne rime pas systématiquement avec frilosité.
Pas de « vraie » cuisine sans la saveur, la couleur du persil. Il transcende le quotidien, sublime le plat le plus simple, règne dans le fameux taboulé libanais et participe à la composition du cultissime bouquet garni.
Pour éviter que votre jardin ne perde ses couleurs pendant la morne saison, pas de meilleur remède que les camélias. L’espèce camellia sasanqua est particulièrement adaptée pour fleurir pendant l’automne, là où les autres cultivars préfèrent l’hiver.
Les abeilles, qu’elles soient domestiques ou sauvages, pollinisent une large partie de la flore qui nous entourent. En ville comme en campagne, voici trois idées pour aider à sauvegarder l’abeille domestique, dont le nombre de colonies en Europe diminue chaque année.
Tant que la pyrale, qui a très peu de prédateurs naturels, ravage le buis, beaucoup de jardiniers n’osent plus adopter cette plante si belle et tellement utile... et cherchent des alternatives.
Nous aimons les plantes de senteur qui embaument le jardin, mais si, en plus, elles régalent les gourmands, elles méritent doublement d’être adoptées. Et n’est-ce pas la bonne saison pour en planter quelques-unes ?
Détrompez-vous : la mythique rose bleue, tant rêvée par des générations d’horticulteurs, n’existe malheureusement toujours pas. Avec les années, certains cultivars ont toutefois réussi à se rapprocher de l’azur… Petit tour des roses violettes ou bleutées, alors que le moment de commander les rosiers à racine nue est arrivé.
Sous-bois, lisière, couvert d’arbre, massif devant un grand mur au nord… Ne négligez pas les endroits où le soleil ne brille jamais.
Le Festival international des jardins de Chaumont-sur-Loire, grand rendez-vous des amoureux d’horticulture depuis plus de trente ans, nous emmène chaque année à la rencontre d’artistes, de scénographes et de paysagistes. Et nous offre, juste avant la fin de l’été, une grande fête des plantes.
Herbes comestibles, plantes médicinales, prairie fleurie et coin sauvage : nul besoin d’un grand espace pour créer un jardin d’inspiration médiévale.
Ornement des collines de la Drôme et du Vaucluse, la lavande est indispensable en parfumerie et aromathérapie et reconnue depuis des siècles pour ses vertus médicinales. Cette plante à feuillage persistant est facile à cultiver et parfumera votre jardin, à condition de la planter au soleil.
L’épice aux mille vertus est un crocus. « Crocus sativus ». Tout va très vite, avec la culture du safran : planté en août, il se récolte fin septembre.
Il existe une alternative culinaire pour remplacer le gazon traditionnel, trop exigeant en eau : laisser venir les herbes sauvages comestibles et adopter de nouvelles plantes tout aussi gourmandes.
Eau de rose, boutons givrés, confiture de pétales de roses ou de cynorhodons… Toutes les roses peuvent se manger, mais toutes ne sont pas excellentes. À vous de tester !
Devenu un grand classique, Hydrangea petiolaris, n’est pas le seul de cette famille à pouvoir habiller élégamment nos murs. Je vous propose un petit tour d’horizon, en commençant, bien sûr, par notre incontournable.
Les pivoines fleurissent peu de temps mais avec une telle générosité qu’aucun jardin ne peut s’en passer.
D’une pureté virginale ou éblouissants, voire extravagants, les lis fleurissent massifs, bordures et jardins bouquetiers pendant l’été. Ces plantes bulbeuses, vivaces et rustiques, arborent des tiges bien droites, robustes, habillées de nombreuses feuilles rubanées.
Aussi imposante qu’un bambou, sans avoir l’inconvénient de produire des drageons, Miscanthus giganteus, une graminée géante, est idéale pour cacher un endroit disgracieux. Mais elle possède tant d’autres propriétés…
Indispensables à notre bien-être, elles apportent joliesse et gaieté dans la maison. Les plantes d’appartement demandent toutefois un minimum d’attention.
Sans ces ravissantes vivaces très rustiques et faciles à vivre, l’hiver serait moins gai. Elles ont changé la face de nos jardins en quelques décennies.
Skimmia, kalmia et piéris… Voici des plantes trop souvent oubliées lors de la conception des massifs où règnent rhododendrons et camélias.
Dès la fin décembre, cette vivace, timidement, tente de sortir de sa courte dormance, osant pointer quelques jeunes feuilles. Avec elle, c’est le printemps qui, déjà, voyant les jours rallonger, se croit tout permis.
Avec une bonne sélection de végétaux, sous le soleil rasant de l’hiver et la douceur des brumes matinales, le jardin devient un univers onirique.
Passer de la canicule cet été, à une fin d’automne estivale suivie d’un froid brutal puis d’un redoux, voici ce que doivent supporter les plantes de nos jardins. Certaines sortent triomphantes, par n’importe quel temps.
Le végétal est, depuis la nuit des temps, omniprésent dans les expressions humaines, qu’elles soient historiques, artistiques, religieuses…
Avec les chaleurs anormales d’octobre, les plantes et les arbres n’ont pas entamé leur mise au repos hivernal. Si le froid gagne brusquement la France, la période de transition pourrait être trop courte.
France 5 propose lundi 24 octobre, à 21 heures, un documentaire en deux parties pour découvrir la vie secrète et souvent méconnue des plantes. Une expérience immersive dans un univers fascinant.
Par ordre d’entrée en scène, faisons un tour parmi quelques bulbes souvent oubliés au moment de passer commande.
Quelques très rares plantes sont capables de vivre au jardin comme dans la maison, de supporter les chaleurs confinées d’un intérieur ou de petites gelées en extérieur.
Faire pousser des légumes à l’intérieur, savoir lesquels planter en toute saison ou encore créer son potager en permaculture… Retrouvez tous les conseils de notre spécialiste aux jardiniers débutants.
La compagnie ferroviaire utilise depuis quelques années des herbivores pour contrôler la végétation de certaines lignes, afin d’éviter notamment l’emploi de produits phytosanitaires.
Dans deux mois, la saison de plantation va commencer : il est temps de commander votre fruitier. Un cerisier ? C’est le premier arbre à offrir ses fruits dès le milieu du printemps, ce qui ajoute un attrait supplémentaire à la magie des cerises.
La renouée du Turkestan, court, luxuriante, grâce à ses rameaux de 10 à 15 m. Elle court sans se soucier de l’endroit, à partir du moment où le sol n’est pas détrempé en hiver, puis grimpe ou retombe en cascade.
Les fêtes des plantes fleurissent à nouveau un peu partout dans l’hexagone. Après cet été brûlant, la démarche, pour nous jardiniers, sera ciblée : découvrir des végétaux plus adaptés à nos régions, à nos sols et au changement climatique.
Peu d’arbres nous envoutent, en plein été, d’effluves si intenses qu’on les perçoit à plus de 100 m, c’est pourquoi, entre autres qualités, il faut adopter le Tilia Henryana.
Peu d’arbustes s’épanouissent en été, c’est pourquoi le Vitex agnus castus est si précieux, avec sa floraison élégante et spectaculaire. On l’aime particulièrement en ce moment, car la sécheresse n’a aucune prise sur lui.
Floraison charnue et feuillage rubané, les agapanthes restent imperturbables face aux méfaits de la sécheresse. Originaires d’Afrique du Sud, elles peuvent être cultivées un peu partout, à condition d’appliquer quelques recommandations…
En ce moment, nous, jardiniers, ne pensons qu’à la sécheresse, nous ne parlons que de la sécheresse, et lorsqu’un voisin ou un ami loue le beau temps, cela nous fait hurler. Il y a, heureusement, des plantes que cette canicule n’indispose pas. Ces dernières semaines, je vous ai parlé de quelques vivaces. Aujourd’hui, c’est un petit arbre qui m’interpelle joyeusement : l’albizia !
Commencée il y a quelques semaines, notre balade parmi les plantes résistantes à la sécheresse continue avec de jolies graminées.
Bientôt, les vacances vont peut-être vous emmener en bord de mer et vous donner envie d’observer la flore, voire de cueillir des plantes comestibles.
Les pots de vos plantes saisonnières estivales sont en plein soleil ? Vous ne pouvez pas les arroser pendant quelques jours ? Il existe différentes astuces pour conserver la fraîcheur dans votre jardinière.
S’il y a un arbuste facile à cultiver, c’est bien le seringat ! Il donne des signes de vieillissement ? Hop, un recépage, et il repart de plus belle ! Découvrons ses milles facettes…
Dans nos jardins, les roses sont à leur apogée. J’aime particulièrement la rose des apothicaires, la rose gallique, qui, en plus de sa beauté, se prête à mille recettes, pour les gourmands comme pour les amateurs de soins au naturel.
Les Boraginacées, voici une famille très bien représentée dans nos jardins, du mignon myosotis jusqu’aux classiques pulmonaires, en passant par l’exquise plante-huître pour arriver à la spectaculaire vipérine des Canaries.
Cultiver son jardin, associer des plantes, admirer les fleurs, récolter et déguster ses légumes… L’enthousiasme du jardinier qui, pour la première fois, se lance dans cette belle aventure doit être un peu canalisé. Les conseils de notre spécialiste afin d’éviter certaines erreurs récurrentes chez les « apprentis ».
« Sauvages de ma rue » fête ses dix ans. Ouvert à tous, ce programme de sciences participatives fait progresser la connaissance de la biodiversité en ville et sensibilise à sa protection.
Le printemps est la saison idéale pour se promener dans une roseraie ou flâner dans l’une des multiples fêtes consacrées à la reine des fleurs. Et pourquoi pas dans une distillerie d’eau de rose ?
La flore exceptionnelle de cette île volcanique de l’Atlantique passionne les botanistes. Ses reliefs escarpés et ses 3 000 km de chemins de randonnée font les délices des marcheurs.
En ce tout début mai, chaque jour, une nouvelle rose nous fait de l’œil lorsque l’on sort au jardin… Simples églantines ou belles froufroutantes, vous pouvez les réutiliser pour composer des pots-pourris.
Grâce aux recherches et au travail de quelques pépiniéristes passionnés, les plantes se plaisant à l’ombre sont de plus en plus nombreuses à notre disposition.
Les différents confinements nous ont recentrés sur la vie familiale, dont le jardin et la vie en extérieur sont les grands gagnants. Quand les beaux jours reviennent, pas de déjeuner dehors sans les aromatiques qui transcendent les cuissons sur le barbecue.
Des températures presque estivales en mars, suivi d’un froid qui semble exceptionnel une semaine plus tard, puis le redoux… La pluie et le beau temps, thème inépuisable, n’est-ce pas ? Mais lorsque l’on est jardinier, ce sujet récurrent prend d’énormes proportions !
Nous piaffons tous devant les jardinières et les potées à garnir de plantes saisonnières, mais c’est encore trop tôt. Le retour du froid, ce week-end, nous le confirme.
Elles apportent une fantaisie, une autre dimension au jardin comme au balcon, et se placent partout, parfois même dans des endroits incongrus. Et, quelquefois, elles jouent les couvre-sol avec ténacité.
La chronique de Dominique Lang, journaliste.
La nigelle de Damas, les soucis, les bleuets, les coquelicots… Ces fleurs, qui poussent au printemps et meurent en fin d’automne, sont à disperser en bordure, en bout de rang, ou carrément au milieu des légumes…
Des œillets aux roses d’Inde, il y en a pour tous les goûts et les couleurs. Et c’est maintenant que je choisis les graines et commence les semis d’annuelles !
La salle de bains est souvent oubliée lorsque l’on adopte des plantes vertes dans la maison, et c’est dommage !
Quelques petits fruits que l’on grignote au fil des balades dans la campagne peuvent être adoptés dans les jardins. Un petit tour, parmi les prunelles et les mûres ?
Pour attendre le printemps, un soupçon d’exotisme semble le bienvenu. Osons ces plantes qui bravent le vent, la sécheresse et les embruns… Mais pas les grands froids !
Chaque hiver, mes seules vraies tâches jardinières consistent à nettoyer le verger. Je suis un peu perdu : dois-je gratter les écorces des arbres, notamment pour ôter les lichens ? Et comment dois-je m’y prendre pour ne pas avoir de maladies sur les petits fruits ?
Dans deux mois commence la grande saison de plantation de vivaces. Pensez aux campanules, car elles augurent de belles floraisons, pour les massifs, la rocaille, le jardin bouquetier…
Je commence l’aménagement d’une nouvelle grande partie de mon jardin, et j’aimerais l’axer sur les parfums. Pouvez-vous m’indiquer quelles plantes choisir ou encore comment les placer ?
Les plantes adaptent leur rythme de vie aux conditions climatiques de leur milieu, aussi hostile soit-il, explique Denis Larpin, responsable des collections végétales tropicales au Muséum national d’histoire naturelle.
Durant la saison froide, la nature ralentit le rythme. Mais cette vie entre parenthèses demeure active et prépare le renouveau. Reportage au Jardin des sciences de Dijon en compagnie de son responsable technique.
Feuillage persistant, floraison époustouflante, bonne rusticité, belle résistance aux embruns et à la pollution : ces arbustes ayant tout pour plaire ne manquent pas d’adeptes.
Feuillage persistant, résistance à la sécheresse, à la pollution, au vent, aux embruns : que de qualités ! Et, en optant pour différentes espèces, il est facile d’avoir des fleurs toute l’année. Sans oublier leur bonne rusticité, hormis les bruyères arbustives, légèrement frileuses.
Les premières gelées sont là. Avant les grands froids, il est plus que temps de récolter les dernières courges et de les entreposer dans un local frais et aéré, pour en profiter tout l’hiver.
J’aimerais faire de mon jardin un refuge pour la petite faune. Pour les oiseaux, les abeilles et les papillons, bien sûr, mais aussi pour tous les autres animaux. Avez-vous quelques bons conseils à me donner ?
Si on a jugé démodés, voire détesté les forsythias pendant quelques décennies, c’est parce qu’on rencontrait trop souvent ces arbustes taillés en forme de balai-brosse.
Le meilleur moyen de profiter des bienfaits des plantes est de boire des tisanes, indique notre chroniqueuse jardin Noémie Vialard. Elle nous dit tout sur les propriétés des aromatiques du jardin, quelles précautions prendre et enfin comment les faire infuser pour les boire telles quelles ou les utiliser dans des recettes de cuisine inventives.
À l’approche de l’hiver, je cherche quelques bons conseils pour me permettre de protéger efficacement les légumes de mon potager contre la baisse des températures.
Les manifestations saisonnières regroupant pépiniéristes, artisans et artistes voguant sur la passion de la nature se terminent bientôt. Elles suscitent toujours le même enthousiasme depuis près de quarante ans.
J’essaie de conserver légumes, fruits et herbes aromatiques pour l’hiver dans une pièce hors gel, ainsi que les rhizomes de dahlias, mais ce n’est pas toujours réussi, loin s’en faut. Pouvez-vous me donner quelques conseils ?
Capables d’escalader les clôtures, d’habiller un mur, de partir à l’assaut d’un arbre, d’illuminer notre automne malgré les jours qui raccourcissent et les pluies de saison, les vignes d’ornement nous en font voir de toutes les couleurs.
En ce milieu d’automne, focus sur deux plantes grimpantes qui font le spectacle, avec une floraison époustouflante.
Comme promis la semaine dernière après un tour parmi les arbustes fleuris en ce moment, voici une petite balade en compagnie de quelques vivaces qui s’épanouissent comme des folles en ce milieu d’automne…
Octobre est un mois très fleuri pour qui sait choisir et adopter les bonnes plantes. Il suffit de visiter parcs et jardins, d’aller aux journées portes ouvertes des pépiniéristes et de courir les expositions qui jalonnent nos régions pour découvrir quelques merveilles. Un petit tour parmi mes arbustes préférés ?
J’ai commencé un potager il y a deux ans, et je ne sais pas vraiment comment appliquer la rotation des cultures.
Même si beaucoup de gestes de multiplication peuvent se pratiquer à d’autres moments, j’aime particulièrement marcotter et diviser mes plantes en septembre, avec les nuits encore douces et le sol ameubli par les pluies automnales. Sans oublier quelques semis à la volée…
Il y a longtemps que nous n’avons pas fait une incursion dans le vaste monde des aromatiques et médicinales. Cette fois-ci, focus sur deux plantes ornementales, indispensables pour les gourmands et les amateurs de soins naturels.
L’arrosage est l’un des gestes les plus compliqués, lorsque l’on jardine… enfin, c’est ce que je constate souvent, en observant mes amis. Ce qui me paraît logique, ne l’est guère pour tous.
En septembre, beaucoup d’arbustes s’en donnent en cœur joie, affichant des baies qui colorent haies et massifs de rouge, d’orange et de jaune. Quelques-uns, plus insolites, nous offrent des perles turquoise ou roses.
Ne pas refaire ses potées chaque année, c’est tentant. Et puis, les jardiniers dans l’âme aiment conserver leurs plantes pendant de longues années. La solution, lorsque l’on jardine en pot ? Installer des vivaces !
Cette semaine, nous allons voyager en Amérique du Nord. Le dépaysement n’est pas vraiment là, car certaines plantes nées de l’autre côté de l’Atlantique font partie depuis très longtemps de nos paysages.
Après une petite présentation des plantes du Chili, puis du Japon, voici venue la semaine végétale sud-africaine. Et là aussi, il y a beaucoup à raconter…
Les voyages étant pratiquement impossibles en ces temps de pandémie, il nous reste les balades sans quitter nos jardins. La semaine dernière, nous avons rêvé du Chili. Aujourd’hui, si nous faisions une petite incursion parmi les plantes japonaises ?
Aimer les plantes, c’est connaître leur origine. Cela permet de savoir ce qu’elles désirent tout en se laissant entraîner dans une longue balade à travers le monde. Le Chili, ça vous tente ?
Pour la première fois, j’ai planté, début mai, des héliotropes au jardin, près de ma terrasse. Ils sont déjà magnifiques, et accompagnent merveilleusement des pélargoniums odorants, installés en même temps. Pourrais-je les laisser en terre en hiver ? On m’a dit qu’ils étaient vivaces.
En ce moment, les cornus à fleurs s’épanouissent en grandes bractées spectaculaires, d’autres cornouillers, discrets, forment une haie dense, tandis que ceux à bois coloré attendent sagement leur heure de gloire… en hiver. Certains jouent même les couvre-sol. Ah, les cornouillers nous en font voir de toutes les couleurs !
L’intérieur de ma maison est sombre, comme dans beaucoup de logis anciens, les fenêtres n’étant pas très grandes. Impossible de garder des plantes d’appartement. Quelles sont celles susceptibles de s’y plaire ?
Pour se protéger des regards au jardin ou sur la terrasse, pour s’isoler d’un vis-à-vis gênant, installer une palissade en bois se fait rapidement.
La Britannique Helen Macdonald signe un recueil plein de poésie, entremêlant récits intimes, observations et réflexions sur la relation de l’homme à la nature.
Bien qu’elles fassent partie de nos souvenirs d’enfance, la plupart des plantes adoptées dans nos jardins viennent souvent de contrées lointaines. Ces introductions sont loin d’être terminées, car des botanistes passionnés continuent à explorer la planète.
La frontière est parfois ténue, quelques grimpants voulant jouer dans la cour des grands. Ces rosiers vigoureux, à la santé de fer possèdent une faculté d’adaptation exceptionnelle. Ils demandent peu d’entretien.
Bien qu’appartenant à la même famille, les Rosacées, mais pas au même genre, ces deux plantes sont très différentes, autant par leur look, leur fructification que leur culture.
« Planter à bonne exposition ». Dans le langage courant, cela signifie planter au soleil ! Mais heureusement, lorsque l’on aime les plantes, toutes les orientations sont bonnes. N’associez pas ombre et mauvaise exposition, prenez plutôt cela comme une bénédiction !
Semer des engrais verts permet de conserver la richesse du sol, de le restructurer et de limiter la venue d’herbes indésirables. Suivant la période de semis, et l’effet recherché, adoptez la plante adéquate.
Se régaler de roses n’est pas une mode. Déjà, dans l’Antiquité, les plats étaient réhaussés de pétales. Au Moyen-âge, on les employait dans les sauces…
La Toulousaine Chantal Perdigau fête cette année le dixième anniversaire de « Savez-vous planter chez nous », sa plateforme numérique qui met en relation propriétaires de jardin et jardiniers en herbe.
Dans le monde foisonnant des primevères, focus sur celles qui, charmantes, fidèles et intemporelles, fleurissent très tôt au printemps. Elles trouvent place aussi bien au jardin qu’en potées.
Le mystère de la truffe manquante est enfin résolu. L’Inrae et les pépinières Robin ont annoncé, mardi 16 février, la production contrôlée par l’homme de la truffe blanche d’Italie. Jusqu’alors, toutes les tentatives de culture avaient échoué
Après des années de sécheresse, des inondations transformant des jardins en étangs, le froid et la neige envahissant des régions habituellement épargnées… Et si nous réhabilitions ces végétaux qui survivent à tout, ou presque ?
La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen réclame un pacte international pour préserver la biodiversité à l’image de l’accord de Paris sur le climat. Les bases sont posées pour la prochaine COP 15 de Kunming (Chine) sur la biodiversité. Mais de nombreux défis restent encore à relever.
Rêver au potager futur c’est se faire plaisir, car jardiner c’est une détente faite de petits bonheurs glanés au jour le jour.
Parmi les innombrables euphorbes à disposition chez nos amis pépiniéristes, quelques persistantes enchantent nos jardins en ce moment.
Jardin. Les mimosas ne manquent pas d’atouts ! Croissance rapide, feuillage persistant, floraison hivernale merveilleusement parfumée… Mais, petit bémol, la rusticité n’est pas à toute épreuve. Toutefois…
Botanique. En Chine, certaines « Fritillaria delavayi » ont changé de couleur pour se fondre dans le paysage. Une évolution rare due à la pression humaine.
Qu’ils sont élégants, ces petits arbres à feuillage persistant ! Même s’ils sont nés au Chili, ils acceptent de vivre dans nos contrées… là où les gelées ne sont pas trop longues et fréquentes !
Les couvre-sol donnent une unité aux massifs, en tapissant les pieds des arbustes.
On les appelle souvent mauvaises herbes, plantes envahissantes, ou encore indésirables...Mais ces sauvageonnes ont leur mot à dire dans notre vie et dans celles des petits animaux, faune et flore étant intiment liées.
Les fleurs peuvent faire varier les pigments de leurs pétales en fonction de l’exposition au soleil, selon une étude américaine.
On les aime, ces vivaces qui jouent les prolongations et éclairent nos massifs d’automne ! Focus sur 3 plantes : à chacune ses préférences…et ses exigences.
Jardin. Si vous avez la chance d’avoir de grands murs, ou un pignon de maison, habillez-les d’une grimpante fruitière.
En ce début d’automne, les expos autour du végétal fleurissent un peu partout, chaque week-end. Ces rendez-vous avec les pépiniéristes venus de loin complètent les visites que vous faites à vos producteurs voisins.
Dorée, verte ou violette, habillée du voile blanc de la pruine, c’est la prune… Un compotier où se mêlent diverses variétés n’a besoin de rien d’autre pour faire une belle composition. Et quel parfum !
Après la mort accidentelle d’un jeune homme qui avait ingéré une plante toxique, l’Agence nationale de sécurité sanitaire met en garde contre la confusion des végétaux.
Proliférant à une vitesse folle dans le plus grand lac d’Éthiopie, les jacinthes d’eau menacent un écosystème dont dépendent pour leur subsistance près de deux millions d’Éthiopiens.
Jardin. Cassis, framboises, raisins, airelles, myrtilles… Les petits fruits, même en plein été, demandent de l’attention. Il y a toujours des tâches à réaliser, sans compter les projets pour enrichir ce jardin fruitier.
Jardin. Voici venu le temps de récolter les légumes bulbeux dont on ne peut se passer en cuisine.
Si le mot chèvrefeuille – le nom latin est « Lonicera » – évoque le plus souvent des grimpantes, ce genre très riche contient aussi des arbustes.
Les sauges semi-arbustives, telles Salvia microphylla et Salvia greggii, et leurs innombrables variétés, nées en Amérique Centrale et du Sud, poussent si vite qu’elles peuvent être traitées en annuelles.
Jardin. Vous cherchez une plante grimpante fleurie, avec un feuillage persistant ? Adoptez sans tarder un trachelospermum !
Ce petit arbre habite nos campagnes, fleurissant les haies sauvages, en mai-juin, de ses grandes et très nombreuses ombelles plates, ivoire.
Si la boulimie de verdure caractérisant les jardiniers à la sortie de l’hiver a été freinée par le confinement, elle peut se débrider : les pépinières et beaucoup de jardins ouvrent leurs portes cette semaine!
Avec ses longues grappes au sublime parfum et une rusticité à toute épreuve, la glycine s’invite dans votre jardin pour des siècles.
Après l’avoir espéré, les fleuristes ne peuvent pas vendre la fleur symbole du 1er-Mai devant leurs magasins. Le muguet, qui rapporte d’ordinaire 7 millions d’euros à la profession, peut en revanche être vendu par les commerces de première nécessité comme les artisans de bouche.
Jardin. Les bonnes vivaces classiques sont indispensables dans nos jardins, et les marier à des végétaux moins courants permet un bel équilibre. Mais peut-on s’en procurer auprès des pépiniéristes en cette période de confinement ?
Jardin. Souvent proposée par les fleuristes en déco provisoire, cette plante est avant tout un sous-arbrisseau très rustique, né en Amérique du Nord.
Pour qu’en mai et juin vous puissiez tirer sur la barbe des iris, c’est maintenant qu’il faut les planter. En arc-en-ciel aux nuances infinies, ou blanc pur, en teintes douces ou flamboyantes, ces fleurs apportent vivacité et brillance aux jardins
Elles sont résistantes, bravent le froid, la sécheresse, les diverses intempéries… Mais « point trop n’en faut ! ».
Menée par l’ingénieur agronome Bernard Lachaise, la société Getade fait progresser les alternatives naturelles aux traitements chimiques en agriculture, selon un procédé fondé sur l’isothérapie.
Jardin. À tout jamais, la littérature et Mademoiselle Chanel ont fait la réputation de ces fleurs dont c’est la pleine saison.
Pourquoi parler de la bourrache, plante annuelle, en plein hiver ? Simplement parce que dans les régions à climat doux, ou bien cultivée en serre froide, elle est encore fleurie !
Originaire du Bassin méditerranéen, rustique jusqu’à – 15° en pleine terre, le « Laurus nobilis » vit plusieurs décennies, atteignant 6 à 7 m de haut.
Jardin. On ne se lasse pas de ces étoiles de Noël qui illuminent nos hivers de couleurs de fête, chaque année.
Nénuphar, pissenlit, violette odorante ou gentiane acaule : chacune d’entre elles adopte des stratégies différentes et parfois surprenantes pour assurer sa reproduction comme le montre Frédéric Hendou dans son ouvrage Les fleurs amoureuses, accompagnées des photos de Stéphane Hette.
Une floraison très odorante dès le mois de décembre, un feuillage persistant et une vie longue et sans souci caractérisent le Sarcococca hookeriana et le Mahonia bealei.
En ce milieu d’automne, on récupère les dernières pommes. On les croque, on les cuisine, on les conserve… et on plante !
Mahonia, jasmin d’hiver, ajonc, hamamélis, mimosa… Mais qu’ont donc en commun, ces végétaux si différents ? Leur pouvoir d’illuminer en jaune le cœur de l’hiver !
Persicaire… ce nom vous est peut-être inconnu ? Ces plantes herbacées sont pourtant appréciées pour leurs capacités de résistances ainsi que pour leur floraison qui dure de juillet jusqu’aux gelées.
En ce début de l’automne, pensez aux bienfaits que peuvent apporter des haies composées d’arbustes et petits arbres qui donnent des baies et des fruits comestibles, véritables trésors pour soutenir la biodiversité.
Terminés les jardins où l’eau coulait en abondance, où l’arrosage faisait partie du travail quasi quotidien du jardinier : dorénavant, les plantes doivent vivre comme dans la nature, avec l’eau du ciel !
JARDINER. Que ce soit pour accompagner les balades nocturnes ou pour éclairer les dîners estivaux, l’éclairage au jardin est essentiel.
Depuis quinze ans, Jérôme Rateau a créé une quarantaine de nouveaux rosiers. Un travail de patience au service d’une passion.
Si bouturer en fin d’été les plantes médicinales et aromatiques semi-arbustives – le thym, la lavande ou le romarin – est habituel, savez-vous que vous pouvez, en ce moment, multiplier le basilic ?
Le persil ou la ciboulette, bien connus de nos papilles, ont aussi une foultitude de cousins qui gagneraient à être plus souvent mis à l’honneur en cuisine.
En ce milieu de printemps, semez des fleurs annuelles pour enchanter votre été.
Originaires de l’hémisphère Sud, la majorité de ces plantes exotiques proviennent d’Australie, de Nouvelle-Zélande et d’Afrique du Sud.
JARDINER. Lis, glaïeuls, dahlias, bégonias sont les grands classiques de nos jardins estivaux. Mais il y a tant d’autres plantes bulbeuses à adopter…
L’ail (Allium sativum), cultivé pour son bulbe constitué de caïeux, est indispensable. Non seulement sa consommation est bénéfique, mais il a le pouvoir de faire fuir les indésirables.
Parce qu’elles reviennent, fidèles, chaque année, les plantes vivaces sont les indispensables du jardin.
Jardiner. Une petite touche de fraîcheur colorée, un mini-potager à apporter à table, pour accompagner salades, fromages : osez les graines à germer…
Parmi les différents organismes vivants envoyés sur la face cachée de la Lune à bord de la sonde Chang’e-4, une petite pousse de coton vient de pointer le bout de son nez. Une première certes, mais est-ce vraiment une prouesse ?
Découvrez nos idées et conseils de jardinage.