Depuis près de deux semaines, le pape François a quitté le territoire du Vatican pour être hospitalisé à la polyclinique Gemelli pour une grave infection respiratoire. Un tremblement de terre pour l’Église catholique, dont les secousses se répercutent cependant peu sur le travail des 4 800 employés de l’État pontifical. « Pour la plupart d’entre nous, c’est comme si rien n’avait changé, tout ce que nous faisons ne dépend pas du pape », assure l’un d’eux.
Cet article est réservé aux abonnés
Vous souhaitez lire la suite ? Abonnez-vous sans engagement à notre offre numérique
Je m'abonne
Déjà abonné ? Je me connecte