Critique

« Tout va bien se passer » de Leye Adenle : Lagos, le fric et la fureur

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Tout commence lorsque Funke, une prostituée, appelle à l’aide après l’exécution du pasteur Frank par un commando inconnu. (Photo d’illustration)
Tout commence lorsque Funke, une prostituée, appelle à l’aide après l’exécution du pasteur Frank par un commando inconnu. (Photo d’illustration) Cyril Bitton / Divergence
Un pasteur assassiné, une montagne de billets envolée, une prostituée terrorisée, une justicière en mission : bienvenue à Lagos, dans un thriller africain aussi explosif que réjouissant.

Ne vous fiez pas au titre : Tout va bien se passer est tout sauf une promenade de santé. Après Lagos Lady et Feu pour feu, Leye Adenle replonge son héroïne, Amaka Mbadiwe, et ses lecteurs, dans le chaos de Lagos. Cette mégalopole tentaculaire est un terrain de jeu impitoyable pour les faux prophètes, les mafias évangélico-financières et les flics véreux.

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