En France, au moins 300 000 palmipèdes ont été abattus dès le 5 janvier, 800 000 à 1 million le seront au 20 janvier… Ces abattages concernent des animaux infectés bien sûr, mais sont aussi des « abattages préventifs massifs » de volailles vivant en périphérie. Est-ce une crise exceptionnelle ? Non, répond Monique Eloit, vétérinaire et directrice générale de l’Organisation mondiale de la santé animale (OIE). « Il y a plus de cas déclarés qu’en 2015-2016, mais on ne va pas vers une flambée exponentielle de l’épidémie. »
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